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Cercle de Koro : 7 véhicules de transport braqués par des hommes armés
Publié le mardi 5 novembre 2019  |  Le Pays
MNLA
© Autre presse par DR
MNLA (Mouvement National pour la Libération de l`Azawad)
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Dans le cercle de Koro, 7 véhicules ont été braqués par des hommes armés non identifiés. L’acte déplorable a eu lieu courant le 31 octobre 2019 entre Koro et Ouavigouya.




Les informations précisent que les véhicules et les passagers ont été conduits dans des buissons avant d’être libérés un peu plus tard. Les indiscrétions rassurent qu’aucune perte en vies humaines n’a été listée.
L’optimisme dans les récoltes à Baraouéli
Les acteurs du monde rural restent optimistes pour de bonnes récoltes à Baraouéli, malgré le grand retard des pluies et l’installation des cultures dans cette zone agricole. En cette période de la campagne agricole, le service local de l’Agriculture a indiqué que la situation phytosanitaire est calme dans l’ensemble.




À noter que les cultures comme le coton, le sorgho, le sésame sont au début de leur récolte par contre, le mil, le maïs, l’arachide ou le niébé, sont au stade de maturité et en début de récolte. Quant au riz et au fonio, ceux-ci sont au stage de battage.
L’explosion d’une mine fait deux soldats maliens tués et 6 blessés à Douvombo dans le cercle de Bandiagara

Au passage de leur véhicule à Douvombo, dans le Cercle de Bandiagara, deux soldats maliens d’une patrouille de proximité ont été tués, six autres blessés dans l’explosion d’une mine le samedi 2 novembre dernier.




Selon AMAP, leur véhicule a sauté sur un engin explosif posé par des individus armés non identifiés. Tout juste après l’explosion selon AMAP, les blessés ont été évacués par un hélicoptère des Fama, à l’hôpital Somine Dolo de Sévaré pour des soins appropriés.
Plus de 200 Maliens dans la rue suite à la rénovation du foyer « Baara » à Montreuil

Jugé « insalubre » et « peu commode », l’établissement d’accueil de migrants dénommé « Baara » à Montreuil a été ordonné de rénovation par les autorités françaises. Le 22 octobre 2019, des individus mandatés par les autorités communales de Montreuil ont procédé à l’expulsion de certains occupants de ce foyer parmi lesquels plus de 200 Maliens sans-abri.




Coïncidant avec l’hiver, cette situation a créé le désespoir, l’indignation et la colère chez les expulsés du foyer. Les associations de Maliens de France ont quant à elles dénoncé « l’inaction » des autorités maliennes face cette situation d’expulsion dont la majeure partie concerne des jeunes et les mineurs d’environ 16 et 17 ans. Si les autorités maliennes rassurent, en disant « suivre de près » l’évolution de la situation, avec des mesures urgentes en collaboration avec les autorités françaises, pour « recaser les personnes expulsées », pour les associations de Maliens de l’extérieur, aucune action n’a été faite, par l’État malien : « le manque de réactivité des autorités maliennes dans la résolution de cette crise ». Anzoumane Sissoko, porte-parole de la Coordination parisienne des « Sans-papiers », dénonce : « Je n’ai pas connaissance d’une aide apportée par les représentants de l’État malien à ces individus ».
L’état des cultures non satisfaisant à Nioro du Sahel

En raison de l’insuffisance des pluies et de leur mauvaise répartition dans le temps, les récoltes ne s’annoncent pas bonnes dans l’ensemble du cercle de Nioro. Certains paysans, qui avaient semé, en début de l’hivernage ont vu leurs cultures sécher par l’absence prolongée de pluie. De Korera Kore, à l’est, à Sandaré, en passant par Simby, Youri, Nioro, Yerere, Diarrah et Trougoumbe, l’état des cultures est peu satisfaisant.




De ces zones à Gogui, vers la frontière Mali -Mauritanie, les champs n’ont pas du tout donné. À noter que CETTE installation tardive des pluies a amené beaucoup d’agriculteurs à abandonner, cette année, le travail de la terre au profil d’autres activités lucratives comme le commerce et la vente de bétail.

À cette situation, la zone a été également, quelque peu, menacée par la présence d’une bande importante d’oiseaux granivores. Mais aussitôt alertées, les autorités nationales ont dépêché sur place, une mission de la direction nationale de l’agriculture pour constater les faits et envisager des mesures pour circonscrire le mal.
Source : LE PAYS
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