Conformément à sa volonté de concevoir et de mettre en œuvre des mécanismes et des actions destinées à assurer la promotion de l’emploi, notamment de l’emploi féminin et de celui des personnes vivant avec un handicap, elle a procédé, le samedi 2 novembre 2019 dans son Centre de perfectionnement et reconversion (CPR), à la remise de kits mobiles (tricyles, moto-taxis) et des kits d’appui à l’insertion des couches vulnérables comme des machines à coudre, des bourses de formation à la fédération des personnes handicapées et l’Union des jeunes musulmanes du Mali (UJMMA), un séchoir, et la remise d’un chèque de 3 millions à l’ONG Al Farouk d’un coût de 3 millions de FCFA, dans le cadre de la clôture du mois de la solidarité. La cérémonie était placée sous la présidence du ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Me Jean Claude Sidibé.
La cérémonie était marquée par les interventions du représentant du maire de la commune III, du représentant de l’ONG Alfarouk, de la porte-parole des bénéficiaires, du représentant du parrain de la semaine 4 du mois consacrée à la jeunesse, l’emploi et partenariat, du dg de l’ANPE, qui a déclaré que : « cette cérémonie est l’aboutissement d’une série d’activités menées en lien avec la promotion et la création d’emploi à l’endroit des groupes cibles de l’ANPE. Ibrahim Ag Nock a précisé que ces bénéficiaires qui sont au nombre de 53, ont été choisis en fonction de leurs demandes déposées à l’ANPE et sur la bases des critères définis. Et pour clore la série d’intervention, le ministre qui insisté sur le côté résilience : « Il ne faut rien céder ni à la facilité ni à la fatalité. Il faut croire en son talent d’innovation en prenant des risques mesurés et calculés pour montrer ses propres projets qui seront certainement réalisés grâce à l’appui des pouvoirs publics et du gouvernement ».
Avant de prendre congé de ses hôtes, le ministre a pu apprécier le savoir-faire maliens suite l’exposition faite pour la circonstance.
La commémoration de ce mois présenté comme le mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion est en soi une bonne action, eu égard à son objectif principal qui n’est autre que le concours de ceux qui ont les moyens -financiers, matériels-, et des hautes autorités à l’endroit des couches les plus défavorisées.