Le jeune Thienta dis rendre grâce à Dieu de l avoir permis avec l’aide de Mali Malin, d’éclairer la lanterne des lecteurs sur les allégations mensongères, diffamatoires sans fondement ni source sûre encore moins des pièces a convictions sur l’arrestation du jeune Moussa Leo Thienta.
Dans leur plainte, le ministre de la jeunesse et le président illégal du CNJ-Mali, affirment que le Jeune Thienta a perçu de somme d’argent au nom du Groupe Citoyenneté et droits qui est une Association fictive et clandestine.
Ce pendant la Somme reçue est le remboursement des frais d’organisations d’une activité de la dite association qui a été empêchée par le conseil communal de la jeunesse de Koulikoro. ( voir en pièce jointes le rapport circonstancié de la directrice régionale de la jeunesse de Koulikoro, elle représentait le directeur national de la jeunesse du mali lors de l’activité, celui la même signataire de la plainte au nom du ministre).
Chers lecteurs, chers jeunes, qu’ils vous plaise d’en déduire l’attitude du ministre de la jeunesse du mali, ses collaborateurs.
Le CNJ-Mali, un mal contre la jeunesse malienne.
Camarades jeunes,
Nous sommes victimes depuis près de décennies, de complots, de manipulations et d injustice par la création du CNJ-Mali.
En effet le CNJ-Mali tire ses fondements des résolutions de la conférence nationale souvairaine d’aout 1991, recommandant la mise en place d’un cadre concertation entre jeunes.
Cette volonté manifeste du peuple malien a la sortie d une lutte héroïque (26 mars 1991) contre toutes formes d’injustice et son aspiration profonde à la liberté et à l’égalité.
Vers les années 1999-2000, l’operationalisation du dit cadre de concertation a été déviée pour en faire une association, dont l’aubtention de récépissé n’est toujours pas démontrée.
Mieux la loi n: 04-038 du 05 août 2004 régissant les associations en république du Mali, soit 04 ans après la création du CNJ-Mali.
Question: de quel fondement juridique le CNJ-Mali etant une association, peut il fédérer toutes les associations en république du Mali ?
Encore mieux les textes du CNJ-Mali sont taillés sur mesures pour permettre au gouvernement de mettre la main mise sur la jeunesse.d’ou les manquements, les tares et contradictions dans ses textes.
Plus grave les procedures de mise en place de la commission nationale de renouvellement conduisant à l ORGANISATION du congrès du CNJ- Mali ne sont pas déterminées dans ses textes. Pour permettre au président sortant en complicité avec le département de la jeunesse de passer la main à celui qui peut faire leur affaire au détriment de l’interret de la jeunesse malienne.
Encore plus grave une convention discriminatoire entre le CNJ-Mali et le ministère de la jeunesse au profit des seuls jeunes du CNJ-Mali et au profit de leurs acolytes au sein du département de la jeunesse.
Camarades jeunes,
Le CNJ-Mali qui est censée représenter toute la jeunesse malienne, dont tous les avantages et opportunités lui sont alloués, cependant le CNJ-Mali prévoit dans ses textes :
Article 4 de ses statuts, alinéa premier:
Le CNJ-Mali renforce les capacités de ses fédérations, mouvements, et associations membres.
Et les 99,83 % de la population jeunes non nombres sont exclus et laisser a eux memes.
Conséquences :
– les autres associations de jeunesse ne bénéficient pas d’accompagnement de l’etat sinon tres rarement ;
– l’avenir des autres jeunes sont hypothéqué ;
– promotion de la médiocrité et de la perversion au sein de la jeunesse.
Camarades jeunes
A l’analyse, vous comprendrez mieux pourquoi la jeunesse malienne est désemparée et très en retard par rapport aux autres jeunes de la sous région.
Quant au bureau du CNJ-Mali, dirigé par souleymane satigi Sidibé:
Ce bureau est illégal en a croire a ses propres textes.
Satigi a été elu comme président du CNJ-Mali lors de sa conférence nationale extraordinaire du 03 décembre à segou.
Hors la conférence nationale n’a ni compétence ni prérogative pour ce faire, selon l’article 34 de ses statuts.
Cette tache est revolue uniquement au congrès selon l’article 17 de ses mêmes statuts.
Mieux si on s’entient a l’article 76 du règlement du CNJ-Mali relative au mode d’election des membres de son comité exécutif, la demission du président entérine forcément la démission de tout son bureau, chose qui n’a pas été faite.
D’ou l’interpellation successive des plus hautes autorités par le mouvement national de Libération de la jeunesse (MNLJ):
– 02 /09/2019 auprès du premier ministre
– 03 /09/2019 auprès du président de la commission jeunesse de l’assemblée nationale et auprès du ministre de la jeunesse et des sports.
(Voir pieces ci- jointes)
Toutes ces interpellations sont restées vaines.
Je demandant aux coordinations régionales du mouvement nationales de Libération de la jeunesse, de rester calme mais mobilisées.