Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



L’Essor N° 17483 du 24/7/2013

Voir la Titrologie

  Sondage


 Autres articles


Comment

Politique

Yamoussoukro : il s’agit de l’avenir du mali
Publié le lundi 29 juillet 2013  |  L’Essor




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Quelque 2.176 ressortissants maliens résidant à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, ont voté hier au groupe scolaire Dioulabougou, à Yamoussoukro.

Répartis dans cinq bureaux de vote dans cet unique centre par ailleurs connu sous le nom de « Grande école », ces citoyens maliens s’acquittent de leur devoir civique dans le calme et la discipline, même si quelques accrocs d’ordre organisationnel, vite réglés, ont échauffé les esprits au début.

A Yamoussoukro, sept candidats ont des représentants, a constaté notre confrère de l’Agence ivoirienne de presse (AIP). Il s’agit de Soumaïla Cissé, Housseini Guindo, Moussa Mara, Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK, Modibo Sidibé, Oumar Ben Fana Traoré et Haïdara Aïchata Alassane Cissé.

Namory Bakayoko, le président du Haut-conseil des Maliens de Yamoussoukro, s’est dit heureux du déroulement de ce scrutin dans le calme, mais aussi de l’engouement de ses compatriotes. « Je suis heureux que tout se passe bien depuis l’ouverture des bureaux, heureux de voir nos frères sortis nombreux pour le vote. Je remercie le Seigneur, Allah, qui permet l’organisation de ces élections en lesquelles beaucoup ne croyaient pas… Il s’agit de l’avenir du Mali notre patrie. Que tous votent et acceptent les résultats des urnes. C’est le Mali qui aura toujours gagné au-delà de nos clivages », a-t-il déclaré.

Namory Bakayoko ne passe pas silence le rôle des autorités Ivoiriennes avec leur tête le président Ouattara, en particulier les autorités locales qui ont tout mis en œuvre pour que ces élections se tiennent dans le calme et la discipline à Yamoussoukro.

Diarra Bakary, envoyé du consul général du Mali pour superviser ces élections relève que « ces élections sont spéciales, en ce sens qu’elles se passent dans un Mali qui cherche à sortir de la crise. « Ce pays revient de très loin; nous avons le devoir de faire en sorte qu’il sorte effectivement et, définitivement, de la situation dans laquelle il se trouve depuis longtemps; c’est pourquoi, nous ne cessons de sillonner tous le bureaux du site pour veiller au grain », a-t-il assuré.

 Commentaires