En première ligne contre les terroristes au Mali, la France se bat aux côtés de quelque 3 000 militaires opérationnels issus des forces armées maliennes. Le soutien international, essentiellement de la formation, du soutien logistique et du maintien de la paix, est réparti dans cinq organisations.
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au mali (Minusma)
Sa date de création : avril 2013
Son commandant : le général de corps d’armée suédois Dennis Gyllensporre
Sa mission : soutien au rétablissement de l’autorité de l’État dans le centre, à la réconciliation ; protection des civils, y compris contre les menaces asymétriques ; promotion et la protection des droits de l’homme ; aide humanitaire.
Ses effectifs : 12 647 militaires, 1 753 policiers et 1 180 civils déployés au Mali. Les pays africains y sont majoritaires, avec en tête le Burkina Faso (1 718 militaires), le Tchad et le Bangladesh (1 400 chacun), suivis du Sénégal (1 300), du Togo, du Niger et de la Guinée (près de 900 chacun). À noter, la présence de l’Égypte (plus de 1 000) et de la Chine (400).
Les Européens aussi sont présents, dans une moindre mesure. Selon le site spécialisé B2, environ 380 Allemands, 250 Suédois, 120 Roumains avec 4 hélicoptères dédiés aux évacuations servent sous le drapeau des Nations unies. Une trentaine
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au mali (Minusma)
Sa date de création : avril 2013
Son commandant : le général de corps d’armée suédois Dennis Gyllensporre
Sa mission : soutien au rétablissement de l’autorité de l’État dans le centre, à la réconciliation ; protection des civils, y compris contre les menaces asymétriques ; promotion et la protection des droits de l’homme ; aide humanitaire.
Ses effectifs : 12 647 militaires, 1 753 policiers et 1 180 civils déployés au Mali. Les pays africains y sont majoritaires, avec en tête le Burkina Faso (1 718 militaires), le Tchad et le Bangladesh (1 400 chacun), suivis du Sénégal (1 300), du Togo, du Niger et de la Guinée (près de 900 chacun). À noter, la présence de l’Égypte (plus de 1 000) et de la Chine (400).
Les Européens aussi sont présents, dans une moindre mesure. Selon le site spécialisé B2, environ 380 Allemands, 250 Suédois, 120 Roumains avec 4 hélicoptères dédiés aux évacuations servent sous le drapeau des Nations unies. Une trentaine