La lutte antiterroriste bat de l’aile. Le Mali fortement engagé est appuyé par l’opération Barkhane. Mais Iyad Ag Ghali reste introuvable.
De son statut d’ancien chef de la rébellion touareg au Mali, Iyad Ag Ghali est à la tête du GSIM, une alliance djihadiste transnationale. Pourtant traqué, le seigneur de guerre qu’il est tout de même reste insaisissable.
“L’ancien et actuel colonisateur, la France, n’est pas parvenu à son objectif : envahir notre pays. […] Ni à vaincre les moudjahidines”. Le chef djihadiste lance alors un appel à “combattre les Croisés et leurs collaborateurs”, a-t-il l’habitude de dire pour drainer à sa cause.
Cet homme qui appelle à la “guerre sainte” n’est pas Arabe. Il est Touareg, né dans le Nord désertique du Mali, avant l’indépendance. Son nom ? Iyad Ag Ghali. Aujourd’hui, personne n’est capable de dire où il se trouve.... suite de l'article sur L’Indicateur Renouveau