coûteuse surtout que notre pays traverse des moments difficiles. Alors, l’apport des organisations caritatives et des personnes de bonnes volontés serait très bien accueilli. Et la presse est l’un des meilleurs moyens pour exprimer ses besoins et appeler les bonnes volontés au don. Mais, la directrice de la Pouponnière n’aime pas saisir ces opportunités que lui offrent les médias.
En cette période de fin d’année, deux grands événements s’approchent à grand pas. Il s’agit de Noël, célébrée le 25 décembre et la célébration du 31 décembre pour donner au revoir à 2019 et souhaiter la bienvenue à 2020. Ces dates sont les moments de joie pour les enfants où ils reçoivent beaucoup de cadeaux de leurs parents et proches.
Cependant, les enfants qui n’ont pas de parents comme ceux de la Pouponnière ne doivent pas rester en marge de ces moments particuliers. Ils ont eux aussi droit à la joie. Voilà pourquoi nous avions décidé de réaliser un reportage sur la situation de ces enfants. Vont-ils passer ces moments dans un minimum de joie ? Vont-ils recevoir le père Noël le jour de cette fête ? En plus, en cette période de froid, ces enfants innocents ont-ils des habillements adéquats pour se protéger ? Voici là quelques questions parmi tant d’autres auxquelles nous voudrions apporter des réponses dans notre reportage. Mieux, sachant que notre pays a des difficultés à faire face à ses dépenses, notre reportage serait une opportunité pour la Directrice de la Pouponnière, Mme Bouaré, de faire le point sur l’année 2019 et appeler les donateurs à plus de générosité.
Malheureusement, Mme Bouaré a décliné notre ” don ” sous prétexte qu’elle a besoin de l’autorisation de la Direction Nationale de la Femme de l’Enfant et de la Famille. Car, à chacun sa manière d’apporter son aide. Nous n’avons pas d’argent, pas de vivres, pas de jouets à offrir aux enfants mais nous avions des voix qui peuvent leurs apporter tout ce dont ls ont besoin. De plus, il parait que ce n’est pas la première fois que Mme Bouaré refuse le don des médias.