Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article
Société

Affaire Mohamed Chérif Hiadara contre Moussa Diakité : Le procès renvoyé au 17 mars prochain
Publié le jeudi 9 janvier 2020  |  Le Pays
Comment


Le tribunal de la commune III, le lundi dernier, du district de Bamako a renvoyé au 17 mars prochain le procès opposant Chérif Mohamed Haidara à Moussa Diakité




Le président du CSDM, Chérif Mohamed Haidara avait porté plainte contre le prévenu Moussa Diakité pour usurpation de titre, de fonctions et entre autres. L’accusé, Moussa Diakité, s’est présenté au tribunal le mardi matin ( il avait dans un premier temps refusé de prendre la notification de l’huissier), le juge a renvoyé le jugement au 17 mars prochain.

Rappelons que le bureau du CSDM (Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne) en Guinée a dénoncé, depuis quelques mois, des actes et des comportements dont est responsable Moussa Diakité, ancien membre de ladite organisation.

Selon les explications du plaignant, Mohamed Chérif Haidara, les membres du CSDM expriment tout leur étonnement quant aux agissements du Moussa Diakité. « Depuis deux ans que Moussa Diakité est exclu des structures de notre organisation. Nous ne comprenons pas ses motivations pourquoi il continue à toujours revendiquer, dans les medias, le titre de président du bureau du CSDM Guinée » explique-t-il.

Toujours de l’avis du président du CSDM, Moussa Diakité est conscient lui-même qu’il n’est pas le président. Son obsession et sa persistance contre lui semble être la cause supplémentaire d’un homme qu’il qualifie d’usurpateur. Ses attaques et ses accusations contre lui ne seront plus tolérées et c’est pour cela qu’il a decidé de porter plainte. Quatre chefs d’accusation sont retenus contre lui. Il s’agit de : simulation d’infraction : peine encourue (1 mois à 3 ans d’emprisonnement et une amende de 20 000 à 100 000 F CFA); dénonciation calomnieuse (peine encourue 1 mois à 3 ans d’emprisonnement et une amende de 25 000 à 300 000 F CFA); tortures (peine encourue 1 à 5 ans d’emprisonnement); Usurpation de titres ou de fonctions (peine encourue 6 mois à 2 ans d’emprisonnement et une amende de 25 000 à 50 000 F CFA).

A suivre !

Correspondance particulière

Source : LE PAYS
Commentaires