Fidèle à sa tradition, le cercle de réflexion, le Baromètre, a effectué pour la cinquième fois le classement annuel des jeunes cadres qui se sont distingués dans leurs domaines respectifs. Qu’ils soient du secteur public comme du secteur privé. Si le Premier ministre Boubou Cissé est lauréat du prix du meilleur ministre de l’année, l’honneur est revenu à Mohamed Lamine Diarra, Directeur pays de la société minière B2GOLD d’être sacré meilleur Manager Privé.
Ce jeune au parcours exceptionnel fait aujourd’hui la fierté de toute la jeunesse malienne. Cet ancien cadre du Ministère des Mines du Mali a un cursus universitaire qui a largement plaidé en sa faveur pour être le Country Manager Mali, en d’autres termes le Directeur pays de la prestigieuse compagnie minière B2GOLD. Le Baromètre s’est-il trompé en portant le choix sur M. Diarra comme le meilleur Ménager de l’année 2019 ? Qui est ce jeune loup aux dents longues ?
Cet ancien chef de mission au Ministère des Mines du Mali a un parcours qui fait de lui un cadre compétent et intégré. Chargé de Fournir une veille concurrentielle sur les grandes tendances d'investissement en bourse et les flux d'investissements étrangers dans le secteur minier; a permis d’évaluer la viabilité économique et financière des demandes de permis pour les droits d'exploration et d'exploitation. M. Diarra a également assuré la liaison avec les investisseurs étrangers (actuels et potentiels); tout comme il a permis la liaison avec Bretton Woods (FMI et Banque mondiale) pour gérer les fonds d'affectation spéciale alloués au ministère. Donc on peut affirmer sans risque de se tromper que son profil sied bien au poste qu’il occupe et qu’il est en terrain bien connu.
Directeur Pays de B2Gold depuis Août 2015 M. Diarra est chargé de gérer les opérations quotidiennes, de formuler la stratégie et les politiques de l'entreprise pour un engagement à long terme dans le pays. Il a en charge d’évaluer les risques dans le pays en recueillant des informations. Il a également la lourde mission de coordonner l'engagement des parties prenantes, de fournir un soutien aux efforts de construction, de coordonner le service logistique et achats et le service financier et comptable.
Compétent et pétri de talents il est chargé aussi de coordonner le service des relations publiques et les activités du département des affaires corporatives et juridiques. Cette dernière structure étant étroitement liée aux services sociaux, M. Diarra a vu son champ d’action s’élargir avec la coordination des activités relatives à la santé et à la sécurité et surtout la protection sociale et environnementale tout comme la liaison avec les organes gouvernementaux. Compétent et très disponible il a en charge la gestion des permis et de la conformité, tout comme la gestion des expatriés dans le pays. En tant que Directeur pays, il a un regard sur la gestion du bureau de Bamako, du bureau de Kéniéba et de la maison d'hôtes. Pourrait-on avoir des telles responsabilités sans avoir un cursus scolaire et universitaire bien étoffé ? Voici le parcours scolaire et universitaire de celui qui forge aujourd’hui l’admiration et le respect.
Mohamed Lamine Diarra est détenteur d’un Master of Science (M.Sc.) en économie des minéraux et de l'énergie (juin 2013). De janvier 2012 à juin 2013, il a fréquenté la Curtin Graduate School of Business Perth, WA (Australie) et a obtenu un certificat de gestion de projet (2006). A Tallahassee en Floride (USA) Il obtint le Bac ès sciences (BS), majeure, avec un accent particulier sur les finances et les investissements. De septembre 2004 à août 2006, il a fréquenté la Florida State University Tallahassee, Floride (USA) avec une licence en Sciences (AS), Majeure: Systèmes d'Information. De janvier 2000 à mai 2003, il a fréquenté le Camden Country College Blackwood, New Jersey (États-Unis. Comme Compétences linguistiques M. Diarra parle français, Bambara et comme langue maternelle, Anglais.
Donc la société minière B2Gold ne s’est guère trompée, tout comme le Baromètre qui a fait de M. Diarra le meilleur Manager du secteur privé de l’année 2019. Il fait désormais partie du cercle restreint de jeunes sur qui le Mali peut compter pour relever les multiples défis du développement.