L’Université des Langues et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB), a depuis un mois rompu un contrat de durée déterminée (CDD), ce durant (03) ans d’emblée et renouvelable chaque 02 janvier. Hélas avec une hausse de 3,8% au cours de l’exercice budgétaire de l’année 2020 qui fait état de 4 263 710 000 FCFA, soit, c’est ainsi que l’ULSHB a rompu le contrat de location à ce ne reste que 23.400.000 FCFA/Mois, soit 334 176.000 de FCFA/An au profit de deux bâtiments, en l’occurrence la Chaine Grise et l’établissement Ballo font état d’environ 5 millions FCFA. Ce qui prouve un investissement de 60 millions par an. Ces pauvres étudiant sont inégalement éparpillés aléatoirement entre Badalabougou (Commune v), Niamakoro Citée Unicef (Commune VI) et Kalaban-Koro Kouloubleni (Commune de Kati). Nombreux sont les étudiants mécontents à ce sujet.
A ses yeux, la somme de devient de plus en plus exorbitante face au contrat de bail reliant l’Université des Langues et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB) et le promoteur de l’immeuble de l’Institut Polytechnique du Mali (IPM) de Kalaban-Koro.
A entendre, Mohamed Koné alias Mandela, actuel secrétaire général de la FSHE dira qu’ ‘’ après une décision unilatérale du Recteur de l’Université des Langues et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB), concernant le déménagement inopiné des 7 741 étudiants de la Faculté des Sciences Humaines et des Sciences de l’Education (FSHE)sis à l’Institut Polytechnique du Mali (IPM) de Kalaban-Koro. Et ce, au profit des locaux de nos jeunes frères académiques comme par exemple : à savoir la chaîne grise sis Niamakoro Citée Unicef (Commune VI), qu’est constituée de 18 salles de classe, dont 2 amphis de type classique ayant la capacité optimale de 200 places, avec 16 petites salles de classes de moins.
Toujours selon lui, chacune de ces salles ne peut, en réalité contenir, ce ne reste que 60 étudiants au sein de la chaine grise sis à Niamakoro Cité Unicef.
De plus, l’établissement Ballo , sis dans la circonscription territoriale de Kati (Kalaban-Koro Koulouba) est un lycée classique sis très loin de la ville, contenant (08) salles de classes incapables de contenir même 40 étudiants chacune. Et aux fins de restaurations il va falloir parcourir environ 400 mètres et ce,
Et enfin Badalabougou (Commune v) ou encore l’ex-Flash, ce dernier n’abrite ce ne reste qu’un amphi simple de 200 places, plus (03) salles de classes d’une capacité de seulement 30 étudiants par classe.
Après toutes ces démarches nous avons constaté que ces endroits ne répondent pas aux critères et normes d’un établissement éducatif à qualité universitaire.
Il soulignera que, toutes les conditions nécessaires n’y sont pas mises au point pour ces locaux et ne répondent pas aux attentes des étudiants. L’AEEM réclament avec effervescence un meilleur endroit d’étude, approprié aux conditions de vies estudiantine dignes de ce nom et ce, sans compter le manque de bus constant, l’insécurité routière et la restauration. Et, à défaut de cela, eux seront du Non Grata au sein des futurs locaux souhaités unilatéralement par le rectorat. A-t-il-martelé ?
Cependant, de source sûre, le bâtiment de la chaine grise de Niamakoro Citée Unicef fait état de 3 millions de FCFA par mois.
Alors que celui de l’établissement Ballo fait état de 3 à 4 millions de FCFA par mois. Et, en somme ces deux bâtiments, en l’occurrence la Chaine Grise et l’établissement Ballo font état d’environ 5 millions FCFA. Ce qui prouve un investissement de 60 millions par an.
Retenons que, le budget de L’Université des Langues et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB) supportes de depuis (03) ans la somme de 334 176.000 de FCFA/An et ce, à travers. Soit une hausse de 3,8% au cours de l’exercice budgétaire de l’année 2020, l’Université des Langues et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB) fait état de 4 263 710 000 FCFA. Surtout avec le Budget Spécial d’Investissement (BSI), les 7 741 étudiants pourront demeurer à leurs Ex-site.