Malgré les inquiétudes, le deuxième tour de l’élection malienne se termine dans un climat d’apaisement, avec la reconnaissance par Soumaïla Cissé de sa défaite avant même la proclamation des résultats officiels. Le Mali est-il une exception sur la scène politique africaine ? Comment faire en sorte qu’un processus électoral se termine dans la sérénité ? Les pressions de la communauté internationale peuvent-elles avoir un impact ? Augustin Loada, professeur de droit et de sciences politiques, directeur du centre pour la gouvernance démocratique à Ouagadougou est l’invité de RFI.... suite de l'article sur RFI