Alors que le processus de mise en place de l’armée reconstituée n’est même pas encore achevé, certains ex-combattants commencent déjà à déserter les rangs. Très souvent, ils emportent avec eux des armes et des munitions. Plusieurs de ces cas sont notamment survenus dans les régions de Gao, Tombouctou et Kidal. De quoi susciter un sérieux doute sur la nécessité de réintégrer ces ex-combattants conformément aux dispositions de l’Accord issu du processus d’Alger.
Source : l’Indépendant