L’armée algérienne réfute toute responsabilité dans le décès d’un civil à la frontière avec le Mali, affirme un communiqué du ministère de la Défense dont Sputnik a eu une copie, précisant que les responsables sont «des personnes connues par leurs activités suspectes dans la contrebande et le crime organisé».
Contrairement à ce qui avait été colporté sur les réseaux sociaux, l’Armée nationale populaire (ANP) algérienne dément avoir tiré sur des civils dans la localité d’Ikhraben, à la frontière avec le Mali, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN) dont Sputnik s’est procuré une copie. Le MDN précise que les tirs qui ont mortellement touché une personne sont l’œuvre «des réseaux de trafic d’armes et de drogues» qui tentent de desserrer l’étau exercé par les unités de l’ANP.