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Démission de IBK : Le M5-RFP reste ferme
Publié le jeudi 16 juillet 2020  |  L’aube
Conférence
© aBamako.com par momo
Conférence de presse du M5-RFP
Bamako, le 14 Juillet 2020, le Mouvement du 5 Juin – Rassemblement des Forces Patriotiques (M5-RFP) a animé une Conférence de presse au siège de la CMAS.
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Le M5-RFP exhorte le Peuple à maintenir et à renforcer la mobilisation jusqu’à l’atteinte de l’objectif qui est et demeure le changement, l’instauration d’une gouvernance vertueuse : « Le mouvement M5-RFP demande également à la Population de ne pas céder à la provocation de ceux commis pour commanditer des actes de violence et de vandalisme dans le seul but de ternir l’image de notre Mouvement qui reste démocratique, populaire et pacifique », a-t- il souligné.
Par ailleurs, le M5-RFP rappelle aux Forces de l’ordre leur mission première qui est la protection des citoyens et de leurs biens, et les exhorte à protéger, en toutes circonstances, les manifestants aux mains nues qui ne défendent que les valeurs démocratiques, laïques et républicaines. Dans l’attente de faire le point sur l’évolution de la situation, le M5-RFP tient pour responsable le pouvoir IBK de toutes les violences et leurs conséquences sur les personnes et les biens publics et privés.

Le Mouvement M5-RFP appelle le Peuple malien à demeurer mobilisé et déterminé, dans les heures et jours à venir, sur l’ensemble du territoire national et dans la Diaspora, jusqu’à l’aboutissement du combat patriotique pour la survie du Mali et le bonheur des Maliens.

Et la a démission d’IBK, reste la priorité du mouvement et le mouvement de contestation ne mâche pas ses mots. La démission du chef de l’État redevient la priorité des priorités, selon le dernier texte signé par les trois organisations qui composent le M5.

Cette revendication initiale avait été mise au second plan dans le mémorandum du 30 juin. Pour sortir de la crise politique, l’opposition proposait alors de nommer un nouveau Premier ministre et de dissoudre la nouvelle Assemblée nationale contestée depuis les législatives d’avril. Des propositions qui ne semblent pas à l’ordre du jour à la présidence.

Mémé Sanogo
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