L’Ordre des avocats du Mali et le Barreau pénal international (BPI) se prononcent sur la situation sociopolitique au Mali et appellent à l’ouverture d’une enquête indépendante en vue de situer les responsabilités.
Dans une déclaration, le Barreau du Mali lance un appel pressant à tous les acteurs quant à la nécessité voire l’urgence de faire preuve de clairvoyance et de retenue. Cela, tant dans leurs déclarations que dans leurs actes, afin de préserver l’ordre public, la paix et la sécurité sur toute l’étendue du territoire national.
« Les évènements survenus le 10 et 11 Juillet 2020 à Bamako, a laissé le Barreau stupéfait et non sans indignation par :
-la perte en vie humaine,
-le nombre des blessés,
-la destruction des biens publics
-ainsi que des graves atteintes aux libertés et aux droits fondamentaux des paisibles citoyens.
Le barreau s’incline devant le mémoire des victimes et souhaite prompt rétablissement aux blessés, demande l’ouverture d’une enquête indépendante en vue de situer les responsabilité, rappelle enfin, à toutes les parties, la nécessité de recourir aux voies de droits existants et au dialogue pour une résolution de la crise- sociopolitique».
«Les forces de l’ordre doivent être exemplaires…»
Pour sa part, le Barreau Pénal international (BPI) suit avec une particulière attention la situation critique que traverse notre pays depuis plusieurs semaines. Le BPI exige que les responsables de des tueries répondent de leurs actes. «Les forces de l’ordre doivent répondre de leurs actes comme tous ceux qui massacrent et défient les lois dans un pays ensanglanté » ajoute le communiqué.
Le BPI, dont la mission est de forcer le respect des droits de l’homme, invite tous les acteurs de la crise à la retenue. « Le premier impératif est d’éviter les nouveaux morts. Le second impératif est le dialogue. Le BPI n’ignore pas les difficultés les défis qu’affronte le pays. Le BPI est disposé à apporter ses ressources afin de faciliter la négociation d’une sortie de crise ».
Enfin, le Barreau pénal international lance un appel solennel à toutes les forces en présence pour que la discussion pacifiée s’engage et que le sang cesse d’être verser.
Dans une déclaration, le Barreau du Mali lance un appel pressant à tous les acteurs quant à la nécessité voire l’urgence de faire preuve de clairvoyance et de retenue. Cela, tant dans leurs déclarations que dans leurs actes, afin de préserver l’ordre public, la paix et la sécurité sur toute l’étendue du territoire national.
« Les évènements survenus le 10 et 11 Juillet 2020 à Bamako, a laissé le Barreau stupéfait et non sans indignation par :
-la perte en vie humaine,
-le nombre des blessés,
-la destruction des biens publics
-ainsi que des graves atteintes aux libertés et aux droits fondamentaux des paisibles citoyens.
Le barreau s’incline devant le mémoire des victimes et souhaite prompt rétablissement aux blessés, demande l’ouverture d’une enquête indépendante en vue de situer les responsabilité, rappelle enfin, à toutes les parties, la nécessité de recourir aux voies de droits existants et au dialogue pour une résolution de la crise- sociopolitique».
«Les forces de l’ordre doivent être exemplaires…»
Pour sa part, le Barreau Pénal international (BPI) suit avec une particulière attention la situation critique que traverse notre pays depuis plusieurs semaines. Le BPI exige que les responsables de des tueries répondent de leurs actes. «Les forces de l’ordre doivent répondre de leurs actes comme tous ceux qui massacrent et défient les lois dans un pays ensanglanté » ajoute le communiqué.
Le BPI, dont la mission est de forcer le respect des droits de l’homme, invite tous les acteurs de la crise à la retenue. « Le premier impératif est d’éviter les nouveaux morts. Le second impératif est le dialogue. Le BPI n’ignore pas les difficultés les défis qu’affronte le pays. Le BPI est disposé à apporter ses ressources afin de faciliter la négociation d’une sortie de crise ».
Enfin, le Barreau pénal international lance un appel solennel à toutes les forces en présence pour que la discussion pacifiée s’engage et que le sang cesse d’être verser.