Profitant de l’absence des ministres, des travailleurs des directions administratives et financières des départements ministériels se la coulent douce. Alors que certains se soucient de la lenteur dans le traitement des dossiers, d’autres se servent à volonté. De l’argent, on en trouve si on se retrouve du bon côté, celui des DAD. Triste constat dans la mesure où les secrétaires généraux broient du noir et n’ont plus voix au chapitre, alors qu’ils ont été mandatés par le Premier ministre pour gérer les affaires courantes. Drôle d’administration où l’argent public est géré par une minorité de cadres véreux et sans scrupules. Vivement des enquêtes pour y voir clair.