La France et la Cédéao maintiennent la pression sur la junte pour que le pouvoir revienne rapidement au civil, alors que les rumeurs d’une libération imminente de l’opposant Soumaïla Cissé se multiplient.
Paris a appelé dimanche 30 août la junte militaire à organiser « rapidement » une transition vers un pouvoir civil au Mali, via la ministre des Armées Florence Parly. « Il faut que cette transition se fasse (…). C’est une affaire de mois », a-t-elle déclaré dans l’émission « Le Grand Rendez-vous » sur Europe 1, avant d’ajouter : « Si cela ne se faisait pas, alors le risque c’est que tout cela profite d’abord aux terroristes, parce que les terroristes se nourissent de la faiblesse des Etats et l’Etat malien est faible, très faible ... suite de l'article sur L’Humanité