Les tricycles, une politique d’emploi des plus hautes autorités, certes, mais aujourd’hui un véritable casse-tête. Ils représentent un réel danger sur les peu de routes de la Bamako surtout en cette période sont devenues des champs de mine. Ces nouveaux conducteurs n’ont souvent aucune notion du code de la route. C’est pourquoi, leurs victimes sont de plus en plus nombreuses. Leur réputation est en passe d’être pire que celle de nos fameux sotrama et taxis, car se considérant par moment maître de la route.
Ces engins à trois roues et de toutes formes provoquent des buchons fréquemment sur les routes.
Les agents chargés de réguler la circulation se serrent la mine dès qu’ils aperçoivent un.
Par ailleurs certaines personnes trouvent leur bien-fondé, comblant le vide laissé par les transports commun. En plus, ils offrent un réel soulagement par le transport de marchandises et d’autres services de transport qu’ils offrent.
La circulation dans la capitale du Mali est de plus en plus difficile à cause du manque de courtoisie et de l’anarchie des conducteurs de motos, de vélos de charrettes, de poussepousse et tout récemment des tricycles, au grand désarroi des piétons, en somme un véritable parcours du combattant.