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Sanctions économiques contre le Mali : la Direction nationale du commerce et de la consommation rassure que les stocks peuvent couvrir plusieurs mois
Publié le jeudi 17 septembre 2020  |  Le Pays
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© aBamako.com par FS
Les jeunes de Kolokani bloquent la circulation
Les jeunes de Kolokani ont bloqueé la circulation aux véhicule sur la route Nationale No3 pour manifester leur colère face à l`état de la route Bamako-kolokani, le Mardi 18 Septembre 2018.
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Dans le cadre de la sanction imposée au Mali suite à la prise du pouvoir par les militaires, le suspens règne chez beaucoup de compatriotes maliens. Les désaccords assumés lors des assises sur la transition  ont été  mis à profit par certains pour tenter de créer la panique au sein de la population, prédisant une rupture très prochaine des stocks en denrées de tout genre.La Direction nationale du commerce et de la consommation (DGCC ) est sortie de son silence pour  rassurer la population.Malgré  le risque de pénurie de certaines marchandises importées,  la DGCC  a indiqué que les stocks  des  produits de consommation peuvent couvrir plusieurs mois encore.  Par ailleurs,  laDGCC a rappelé que la croissance de son produit intérieur brut (PIB) a régressé de plus de 6% à un peu moins de 5% (2019) sur la même période.  Un  taux qui  est, selon le dernier rapport des services du Fonds monétaire international (FMI), estimé à 0,9% cette année, contre une projection initiale de 5%. Sachant que cette chute drastique est consécutive aux effets de la crise sanitaire, s’il fallait y ajouter, selon la DGCC,  les effets néfastes de l’embargo, l’économie malienne tomberait en récession.


Mini-sommet de la CEDEAO à Accra : le CNSP a exhorté l’apport de tous les Maliens pour réussir la transition

Dans le cadre du déplacement de la délégation du CNSP pour lemini-sommet de la CEDEAO, sur la situation au Mali, tenu à Accra, la communauté malienne vivant dans ce pays est venue rencontrer le nouvel homme fort du Mali.Une occasion pour le Colonel AssimiGoïta d’inviter les Maliens, en général et ceux vivant au Ghana en particulier, à s’investir pour la refondation de leur pays. « Tout le monde doit se mettre à la tâche. Et cela demande des sacrifices à consentir », a prôné le colonel AssimiGoïta, en rappelant que « le Mali est notre seul patrimoine commun que nous devons sauvegarder ». De son côté également, le porte-parole du CNSP, le colonel-major Ismaël Wagué a indiqué que l’objectif du CNSP (« poser les jalons du Mali de nos rêves »), ne peut être atteint sans que tous les Maliens n’y contribuent résolument : «La contribution de tout un chacun est non seulement essentielle, mais aussi vitale», a lancé le colonel-major.
Sanctions économiques contre le Mali : la Direction nationale du commerce et de la consommation rassure que les stocks peuvent couvrir plusieurs mois

Dans le cadre de la sanction imposée au Mali suite à la prise du pouvoir par les militaires, le suspens règne chez beaucoup de compatriotes maliens. Les désaccords assumés lors des assises sur la transition ont été mis à profit par certains pour tenter de créer la panique au sein de la population, prédisant une rupture très prochaine des stocks en denrées de tout genre.La Direction nationale du commerce et de la consommation (DGCC ) est sortie de son silence pour rassurer la population.Malgré le risque de pénurie de certaines marchandises importées, la DGCC a indiqué que les stocks des produits de consommation peuvent couvrir plusieurs mois encore. Par ailleurs, laDGCC a rappelé que la croissance de son produit intérieur brut (PIB) a régressé de plus de 6% à un peu moins de 5% (2019) sur la même période. Un taux qui est, selon le dernier rapport des services du Fonds monétaire international (FMI), estimé à 0,9% cette année, contre une projection initiale de 5%. Sachant que cette chute drastique est consécutive aux effets de la crise sanitaire, s’il fallait y ajouter, selon la DGCC, les effets néfastes de l’embargo, l’économie malienne tomberait en récession.

ASACO-CSCOM : une convention d’assistance en péril

La Convention d’assistance mutuelle signée entre les collectivités et les Associations de santé communautaire (ASACO), conformément au décret 02-314 de juillet 2002 fixant les détails des compétences transférées aux collectivités, a de réelles difficultés dans la pratique. Née de la politique de transférer des compétences aux collectivités, y compris la gestion des problèmes de santé au premier niveau de la pyramide sanitaire, cette convention engageait les communes à accompagner les CSCOM, en termes de stock initial de médicaments en dénomination commune internationale (DCI), d’équipements et de moyens logistiques, etc. Selon AMAP, elle fait obligation à une ASACO d’assurer le paquet minimum d’activités pour les habitants de l’aire de santé tout en participant à la lutte contre les épidémies et catastrophes. Si théoriquement l’initiative est salutaire dans son essence, dans la pratique les choses sont un peu compliquées.

San : un accident de la circulation fait un mort et trois blessés

Le lundi 14 septembre dernier, un accident survenu sur la RN 13, aux environs du village de Toura, dans la Commune rurale de Dah, cercle de San, a causé la mort d’une fillette. Selon AMAP, une fillette de 4 ans transportant sur son dos une autre âgée de 2 ans, voulant traverser la route, a été renversée par un motocycliste transportant un passager, circulant dans le sens San–Koutiala. Les trois blessées sont selon AMAP, celle qui l’a transportait, le motocycliste et son passager. Si les blessés ont été acheminés au centre de santé de référence de San par des agents de la protection civile pour des soins appropriés, des sources expliquent que cet accident est dû à l’excès de vitesse et à l’inobservation des règles élémentaires de la circulation routière par le pilote de l’engin. Selon les sources de l’AMAP, les éléments de la brigade territoriale de la gendarmerie ont été dépêchés sur les lieux pour établir les circonstances exactes du drame.

Koulikoro: les sinistrés des dernières inondations reçoivent des vivres

Suite aux fortes pluies qui ont causé beaucoup d’inondations au Mali, la direction régionale de la protection civile de Koulikoro a procédé cette semaine à la distribution d’une quantité importante de vivres et de non-vivres aux sinistrés de la région de Koulikoro. Composés essentiellement de 4 tonnes de mil, 4 tonnes de riz, 100 moustiquaires, 100 seaux d’eau, ces dons ont été distribués dans les localités concernées : Ouéléssébougou, Sanankoroba, Falou et Kolokani. Selon AMAP, la direction régionale de la protection civile de Koulikoro a profité de l’occasion pour faire des sensibilisations sur les risques d’inondation et les dispositions utiles à prendre.

Transport fluvial : lebateau Tombouctou fait son premier voyage à Bourem

Lundi 14 septembre 2020, le bateau Tombouctou a fait son voyage inaugural à Bourem. Un événement qui est salué par toute la population de Bourem, car permet aux femmes de se frotter les mains à travers la vente des fruits et légumes. À noter également qu’à travers cette campagne, la ville de Bourem sera ravitaillée en denrée, à des prix abordables.

Kadiolo: la capacité des acteurs locaux a été renforcée sur la santé de la reproduction et la planification familiale

Le mardi 15 septembre 2020, la ville de Kadiolo a ouvert la porte à un atelier de formation sur la santé de la reproduction et la planification familiale. Visant cinq communes du cercle de Kadiolo, cette formation financée par la coopération espagnole avait pour but d’impliquer les acteurs locaux de ces localités dans l’amélioration des services de planification familiale, et de la santé sexuelle et reproductive.

Selon AMAP, c’est une trentaine de participants qui ont suivi cet atelier, notamment de leaders religieux, de la chefferie traditionnelle, la société civile et des forces de sécurité.

Nioro du Sahel : les classes ouvrent les portes

Contrairement à beaucoup de localités, les cours ont repris à Nioro du Sahel, lundi 14 septembre 2020. Selon AMAP, c’est 80 pour cent des écoles publiques du cercle de Nioro qui ont repris les cours à la date indiquée par le département de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (le lundi 14 septembre 2020). Selon AMAP, les autorités scolaires ont signalé que l’absence de certains maîtres ainsi que des élèves n’a pas permis la reprise des cours dans toutes les écoles du cercle
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