Après les violences entre tribus arabes et touarègues qui ont déjà fait 23 morts selon la presse ces derniers jours dans la ville algérienne de Bordj Badji Mokhtar, à la frontière malienne, plusieurs centaines d'habitants se sont réfugiés dans la gendarmerie mais ne reçoivent aucune assistance. Les familles dorment sous des camions stationnés dans l'enceinte et craignent que la situation humanitaire ne se détériore très vite car la ville n'est plus approvisionnée, et les marchés sont fermés...... suite de l'article sur RFI