Une frappe de l’opération « Barkhane », au Sahel, dimanche 3 janvier, contre un groupe djihadiste, aurait été à l’origine de victimes civiles. Ce que réfute l’état-major des armées.
Que s’est-il passé exactement, le dimanche 3 janvier, vers 15 heures, dans le village de Bounti, dans le centre du Mali ? Une frappe aérienne menée par l’armée française dans le cadre de l’opération « Barkhane » a-t-elle viré à la bavure ? Depuis le bombardement ciblé, assumé par l’état-major des armées, un certain nombre d’accusations ont émergé, notamment concernant d’éventuelles victimes civiles collatérales. Des « civils » présents ce jour-là à Bounti pour célébrer un mariage. A ce stade, toutefois, les faits ne sont pas clairement établis.... suite de l'article sur LeMonde.fr