De nos jours, c’est le seul moyen d’empêcher la propagation du virus entre les êtres humains
Apparue au mois de novembre 2019 à Wuhan dans l’Etat de Hubei (Chine centrale), la maladie coronavirus aussi appelée Covid-19 est devenue aujourd’hui une épidémie mondiale, avec son mode de contamination rapide entre humains
L’avènement de la maladie à Coronavirus a sérieusement affecté le monde, bouleversant complément les anciennes habitudes. Ainsi, la COVID-19 a contribué à l’adoption de nouvelles règles de vie. Cela, afin d’empêcher le virus de se propager entre les êtres humains. Chose qui a nécessité l’imposition de nouvelles mesures dites barrières par les gouvernements des pays touchés. Il s’agit de : la fermeture des frontières entre Etats ; le port des masques à nez ; le lavage régulier des mains au savon ; la distanciation de plus d’un mètre ; l’utilisation du gel hydro alcoolique ; le non attroupement de plus de 50 personnes etc.
Nonobstant l’émission de ces mesures barrières, la maladie n’arrête pas de se propager à un rythme exponentiel, atteignant ainsi un taux de contamination incroyable. Un tel constat est le résultat d’une certaine inobservation de ces mesures barrières. Avec cette nouvelle phase d’évolution de la maladie, les autorités des pays touchés par cette pandémie ont renforcé ces mesures de protection en les durcissements. C’et le cas de notre pays où les autorités de la Transition font tout pour empêché des manifestations à caractère public.
Mais, qu’à cela ne tienne, d’après certains experts, s’il y a un moyen plus efficace pour se protéger et protéger les autres contre la pandémie de la Covid-19, c’est le respect scrupuleux de ces mesures barrières. Aujourd’hui, celles-ci sont en train d’être plus ou moins respectées dans les villes grâce aux efforts déployés par le Gouvernement dans ce sens.
Parmi ces mesures barrières en vigueur, c’est le port du masque à nez qui est le plus respecté et appliqué par les citoyens. Ce qui signifie que, « le projet, un malien, un masque » est en train de faire son effet sur le terrain. Les autorités précédentes comme celles de la Transition, ont décidé d’offrir à chaque malien un « cache à nez ». Le gouvernement ira même plus loin, en interdisant l’accès des services publics à des usagers qui ne portent pas de masque à nez. Idem pour certaines structures privées. Une telle décision courageuse a positivement contribué au respect de cette mesure barrière.
Cependant, quelques individus réticents ne croyant toujours pas à l’existence de cette pandémie, refusent de porter le masque à nez. Interrogés pour leur refus catégorique, la plupart d’entre eux qui ont préféré gardé l’anonymat, soutiennent que : « cette maladie a été inventée de toutes pièces, dans le but de détruire certaines de nos valeurs sociétales. Dont la cohabitation, se serrer les mains, les visites à nos proches etc…”.
Concernant le lavage régulier des mains au savon et l’utilisation deu gel hydro-alcoolique, ces mesures sont pratiquées presque dans tous les services publics et parapublics. Cela pourrait s’expliquer par le fait que l’observation de ces mesures barrières, demande des moyens financiers.
En plus de ces mesures barrières, le respect de la distanciation et les attroupements ne sont pas respectés à la lettre. C’est ce qui ressort d’un constat fait sur le terrain. A part les activités organisées par les structures gouvernementales et certaines de la société civile, ces mesures protectrices contre la Covid-19, ont de la peine à être appliquées.
En définitive, s’il y a un moyen efficace pour briser la chaîne de contamination de la Covid-19 entre humains, c’est bien l’observation des mesures barrières. Bien qu’elles soient pour la plupart respectées aujourd’hui par bon nombre de citoyens vivant dans les centres urbains, ces mesures de protection méritent d’être suivies en vue d’empêcher la propagation de cette pandémie.