Très attendu sur le maintien de la force Barkhane débarquée le 1er aout 2014 au nord Mali en remplacement de l’opération Serval, Emanuel Macron a affirmé sa volonté d’appuyer les efforts de reconstruction de certains états de la région.
Les 5100 hommes de troupes de la force Barkhane actuellement déployés au Sahel ne partiront pas, du moins pas avant l’été. Le président français a pris grand soin d’en détailler les raisons lors d’une conférence de presse à l’issue du sommet de N’Djamena des 15 et 16 février. Au premier rang desquelles le « sursaut militaire » et les succès remportés sur le terrain contre contre Daech et Al Quaida au Mahgreb (AQMI), les deux organisations terroristes sévissant dans la région, depuis le sommet de Pau, il y a un an.... suite de l'article sur Autre presse