Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Issaka Sidibé file avec 4 véhicules de l’hémicycle
Publié le mardi 23 fevrier 2021  |  le Temoin
Première
© aBamako.com par mouhamar
Première session de la nouvelle législature
Bamako, le 22 janvier 2014 à l`hémicycle. Les nouveaux députés issus des dernières législatives étaient en session extraordinaire pour l`élection du président de l`assemblée nationale et la composition des groupes parlementaires.Photo: Honorable Issaka SIDIBE
Comment




C’est un autre scandale en gestation qui guette le régime défunt. De source bien introduite, en effet, quatre véhicules et non des moindres manquent à l’appel au parc de la défunte Assemblée nationale supplantée par le CNT. Lesdits véhicules, affirment notre source, ont été localisés chez le prédécesseur de Moussa Timbiné qui n’a peut-être pas eu le temps d’effectuer une passation de témoin accomplie. Quoi qu’il en soit, les autorités parlementaires post-putsch n’ont l’air de vouloir le faire passer par perte et profit. Une correspondance en bonne et due a été adressée dans ce sens à l’ancien président Issaka Sidibé pour que soient restitués illico les véhicules concernés. En attendant d’en savoir la suite, force est de constater qu’Issaka Sidibé quitte l’hémicycle comme il y est entré, notamment sur fond de scandale autour de la gestion de la logistique. On se rappelle en effet que la législature qu’il a conduite avait connu à ses débuts une histoire similaire avec notamment la soustraction d’un parc jugé vétuste en son temps et qui s’est retrouvé dans un garage aux confins de la la zone industrielle. Le nouveau scandale intervient dans la foulée des comptes réclamés à l’ancien président de la République sur la distribution massive des véhicules que le Mali a acquis lors du sommet Afrique-France.

Le hold-up politique du PRVM Fassoko au Centre – Mali

Pour être admis et accepté comme parti politique dans certaines contrées du Centre, il faut être apparenté aux milieux islamique ou incarner la religion par ses emblèmes. Le Parti de l’Abeille est en train de l’apprendre à ses dépens dans certaines localités où l’absence de l’Etat favorise le règne de l’arbitraire, de l’iniquité et de l’inégalité des chances. A Macina, par exemple, le processus de renouvellement des structures de la Ruche se heurte à un niet catégorique des nouveaux seigneurs des lieux, qui refusent que l’électorat soit disputé à la formation de leur préférence. Les responsables locaux du PASJ ont beau tenter ils n’ont réussi à installer un seul comité dans lesdites zones où aucun autre parti n’est accepté en dehors du PRVM Faso Ko. L’ancien parti majoritaire n’a eu le choix, apprend-on, que de faire bon cœur mauvaise fortune en s’accommodant de la situation en dépit de ses énormes implications électorales.

Rassemblées par la Rédaction
Commentaires