Un fait qui en dit long sur l’état de délabrement de cette importante juridiction spécialisée dans le traitement des affaires portant sur des milliards FCFA par an. Le 1er octobre 2020, juste après une audience, le plafond d’une salle s’est effondré. Heureusement qu’il n y avait plus personne. Imaginez les conséquences si cela s’était produit plus tôt ?
Cinq mois après, aucune amélioration, aucun effort déployé pour changer ce lugubre décor en un cadre de travail plus digne des occupants et des usagers. Car, c’est encore et toujours des locaux d’un autre âge, des capharnaüms servant de salles d’audiences, un personnel en manque du minimum d’équipement !