Ses précédents arbitrages en Guinée et au Niger plaident en sa faveur. Mais alors qu'au Mali la crise s'enlise, la mission de conciliation du chef d'État burkinabè, Blaise Compaoré, rencontre quelques obstacles.
Une médiation pour quoi faire ? Dans l'entourage du président du Burkina Faso, la question ne se pose pas. À Kosyam, les hauts et les bas inhérents à une telle entreprise, on connaît. Mais ailleurs, dans quelques Palais de la région, un léger doute s'est installé. Blaise Compaoré médiateur dans la crise malienne, était-ce une bonne idée ?... suite de l'article sur Jeune Afrique