Selon des informations auxquelles a pu avoir accès Algeriepatriotique.com, un quotidien algérien, le nombre d’éléments armés qui s’activent sous une direction unifiée des groupes salafistes/ djihadistes sous l’appellation de « Nosrat Al-Islam Oua’l’mouslimîn » autrement appelé Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) se situerait entre 1 600 et 2 000.
Comme il fallait s’y attendre, ces combattants sont signalés dans des zones rocheuses du nord de notre pays qui regroupe les frontières politiques entre le Mali, le Niger, la Mauritanie, l’Algérie et le Burkina Faso.
Aussi faut-il préciser que cet effectif ne concerne que des combattants de la filiale terroriste conduite par Iyad Ag Ghaly à savoir le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM). Si l’on associe à cela l’effectif de l’Organisation Etat islamique du Grand Sahara (EIGS), l’on imagine déjà le volume de travail qui peut attendre nos forces armées et de sécurité. Sans oublier que ces groupes terroristes pris dans leur ensemble pourraient dépasser l’effectif annoncé. Dans tous les cas, les forces armées doivent miser sur les renseignements et entretenir d’étroites collaborations avec la population locale pour venir à bout de ces groupes narcoterroristes.