Suite à notre parution du 26 août 2013 «Michel Sidibé, Premier ministre», «L’Inter de Bamako» a reçu de nombreuses réactions ; toutes vantent les mérites et les qualités humaines de notre compatriote Michel Sidibé. Tout ce qui nous conforte dans nos recherches.
Musulman pratiquant, notre compatriote est enregistré à l’Etat civil sous le nom de Cheickna Hamalla dit Michel Sidibé, même si l’international a choisi le raccourci de Michel Sidibé. Il est un des nombreux homonymes du Saint homme du Sahel occidental d’où est originaire sa grand’ mère Fatouma Traoré, adepte du «Hamallisme».
Cadet du tout nouveau président IBK, les deux hommes se connaissent parfaitement et ont lié une solide amitié depuis que leurs deux destins se sont croisés. Comme par enchantement, l’aîné succéda par deux fois son frère cadet, d’abord au niveau du PNUD et ensuite au niveau de l’ONG «Terre des hommes».
Par la suite, IBK choisira d’évoluer en politique, son cursus universitaire et Michel Sidibé continuera son ascension dans le système onusien où les évaluations restent permanentes par rapport aux objectifs fixés.
Ses collaborateurs retiennent au quotidien cette mise en garde de Michel Sidibé : «Mes frères sont ceux qui font mon travail ; l’amitié et la fraternité ne doivent pas être utilisées pour ne pas faire mon travail».
IBK prêtera serment le 4 septembre 2013, ce jour le nom du Premier ministre pourrait être annoncé, comme le 8 juin 1992, jour de la prestation de serment d’AOK où l’honneur de l’annonce, du nom du Premier ministre, est revenue au même IBK.
«L’Inter de Bamako» reste convaincu que si Michel Sidibé n’est pas présentement le «cheval caché», il sera la «carte Joker» après la mise à l’épreuve de tous ces autres prétendants qui se bousculent aujourd’hui au portillon de la primature.