A Bamako, quand il faisait chaud, il y avait plus de coupure d’électricité, plusieurs personnes comprenaient, car l’eau du fleuve était diminuée pendant cette période. Tout le monde croyait qu’avec la saison pluvieuse, le problème serait résolu. Mais, c’est le contraire, surtout à Hamdallaye, notamment pendant le mois du ramadan et surtout les vendredis.
L’énergie du Mali devrait tenir compte de ce problème. Car ce sont des périodes importantes pour plusieurs toutes les couches socioprofessionnelles.
A Hamdallaye par un son travail est de vendre le charbon de bois en détail et de moudre le mil. Pendant toute la journée du 23 août, il n’a fait que la vente du charbon, car il n’y avait pas d’électricité. Il n’a rien gagné avec son moulin sauf l’argent gagné par son charbon. Dans d’autres quartiers, il y a plusieurs moulins à mil, mais le plus souvent, les meuniers n’associent pas un autre travail alors qu’avec l’argent gagné ils font toutes leurs dépenses.
Pour le cas du meunier, heureusement pour lui, en dehors de son moulin, il vendait du charbon. S’il ne faisait pas la vente du charbon, ce jour allait être difficile pour lui alors il quitte d’un autre quartier en un autre appelé le quartier Hamdallaye. Comment ces personnes vont faire quand la coupure d’électricité les empêche de travailler. L’énergie du Mali devrait tenir compte de ce problème. Ses responsables devraient couper le courant et à des moments de repos afin de satisfaire les clients.