C’est la communauté Idaksahak, dont sont issues » les personnes annoncées pour mortes » qui tire la sonnette d’alarme et interpelle les gouvernements malien et nigérien mais aussi la MINUSMA à faire toute la lumière sur cet incident, à identifier et traquer les soldats responsables de ces tueries. Et à prendre les mesures idoines pour mettre un terme aux exécutions sommaires.