Bien qu’elle ait enregistré quelques succès notables dans la traque des groupes terroristes, notamment, lors des opérations Sama 1, 2 et 3 dans la Zone des trois frontières et mis hors de combat de nombreux assaillants, la Force Conjointe du G5-Sahel peine à amorcer sa pleine autonomie. Et fait face à des déficits capacitaires dus en partie à des problèmes de logistique et de financement. Une défaillance dénoncée dans un récent document du Secrétaire général de l’ONU au Conseil de Sécurité.