Des institutions avec à leur tête les nations unies, l’union africaine et l’union européenne, en plus d’autres pays la France, les Etats Unis, le royaume uni et l’Allemagne, ont exprimé leur préoccupation face à la situation au Mali où l’armée a arrêté le président de la transition et son premier ministre, quelques heures après la formation d’u nouveau gouvernement.
Ces institutions et ces pays ont demandé la libération immédiate du président, son premier ministre et les hauts responsables arrêtés en même temps qu’eux.
Le communiqué publié par la commission locale pour le suivi de la transition au Mali a condamné ce qu’il a appelé la tentative de coup de force après l’annonce de la formation d’un nouveau gouvernement et demandé la libération immédiate des toutes les personnes arrêtées.
La commission a renouvelé son soutien sans réserve aux autorités de la transition, réaffirmant la nécessité de reprendre le processus de transition et de le mener à terme.