L'ONU, de grandes organisations africaines, la France, les États-Unis et d'autres ont condamné lundi 24 mai la «tentative de coup de force» en cours au Mali et ont rejeté par avance tout fait accompli, y compris une éventuelle démission forcée des dirigeants de transition arrêtés par des militaires.
Dans un communiqué commun, la mission de l'ONU au Mali (Minusma), la Communauté des États ouest-africains (Cédéao), l'Union africaine, la France, les États-Unis, le Royaume-Uni l'Allemagne et l'Union européenne «exigent la libération immédiate et inconditionnelle» du président Bah Ndaw et du premier ministre Moctar Ouane, conduits avec certains collaborateurs sous la contrainte par des soldats au camp militaire de Kati, à quelques kilomètres de Bamako, haut lieu de l'appareil militaire malien.... suite de l'article sur Autre presse