Nana Sanou Kané, Secrétaire Générale du Réseau des Femmes Africaines Ministres et Parlementaires, estime que la question des mariages forcés des filles doit être reconnue comme une violence basée sur le genre. L'ancienne députée malienne de kati déplore que son pays ne dispose pas de loi contre ces violences, les différents textes proposés ayant été rejetés en raison de la pression des chefs religieux sur les gouvernements successifs.... suite de l'article sur Autre presse