Le pays, avec lui la transition, s’achemine doucement et sûrement vers les élections, cruciales pour le retour du Mali à la normalité. Compte tenu du contexte sociopolitique autrement plus lourd de périls, le choix des futurs candidats devient un enjeu majeur de ces joutes politiques. C’est pour cela qu’un homme, grand connaisseur du pays et ses hommes, Aliou Boubacar Diallo, opérateur économique prospère de son état, sort du lot. Avec son idéal politique, forgé à partir de ses nombreuses années d’expérience de terrain, et qui est de « transformer le Mali en ce pays de grandeur économique et de paix où il fera bon vivre », la candidature de cet homme d’actions est jugée comme une alternative crédible par de nombreux Maliens, à l’intérieur comme à l’extérieur du Mali.
Le dernier fait politique de l’homme : la semaine dernière, pendant que l’école croule sous le poids des grèves cycliques, suite à un bras-de fer qui se profile entre les syndicats d’enseignants et le gouvernement, le président de la fondation Maliba, toujours égal à lui-même, décide de rencontrer in extremis les syndicalistes. En cause: l’année scolaire, déjà fortement troublée, est menacée.
L’heure est grave et la tension forte autour de l’école. Le président d’honneur de l’ADP-Maliba, qui sait bien qu’un pays débout, prêt à affronter son avenir, comme il le rêve pour le Mali, en proie à de graves périls sécuritaires et autres, ne peut gagner son pari avec une école malade, va rapidement rencontrer les syndicats d’enseignants, avant que les choses n’empirent. Il est décidé à évoquer avec ses interlocuteurs syndicaux l’ambition qu’il nourrit pour l’école.
Les enseignants sont satisfaits de leur face-à-face avec le président de la fondation Maliba, Aliou Boubacar Diallo, qui les a exhortés, pour le bien de l’école, et donc pour l’avenir des enfants du pays, à privilégier la voie du dialogue en vue de retrouver l’accalmie.
A y voir de près, l’attitude de l’homme à l’égard des syndicats d’enseignants n’est pas circonstancielle. Loin s’en faut !Aliou Boubacar Diallo a pris l’habitude de rencontrer, sur les grands problèmes existentiels, les Maliens, indépendamment du clivage idéologique ; histoire de partager avec eux l’espoir de solutions qui s’offre au contexte.
C’est le style de l’homme : tâter la réalité du terrain pour appréhender les préoccupations de ses compatriotes. Ce qui lui a permis, au-delà des considérations partisanes, de percer les difficultés vécues au quotidien dans le pays, tout en se sentant constamment près des citoyens, en dehors de leur zone d’habitation et de leurs conditions socioculturelles.
De la même manière, le président d’honneur de l’ADP-Maliba, qui ne fait plus mystère de ses ambitions présidentielles, et qui, de jour en jour, renforce son crédit d’homme de la situation, est quotidiennement présent au-devant de l’actualité brûlante pour intervenir directement pour donner ses appréciations sur les difficultés ressenties et les perspectives favorables pour le pays.
De ce fait, pas un seul événement ne se déroule dans le pays sans que cet homme de convictions n’apparaisse au grand jour pour non seulement aborder le vif du sujet avec les populations, en exprimant sans fard sa position. Que cela dérange ou pas, le président Diallo ne s’en préoccupe pas du tout d’autant que pour lui, aucun sacrifice n’est trop grand pour le confort du Mali et de son population.
Quand il évoque les divers sujets de préoccupation nationale, comme il en a l’habitude, il le fait avec tellement d’engagement et de conviction qu’il ne se contente plus de déclarations de circonstance, comme cela est le propre du champ politique national.Mais, dans son style bien à lui, il donne des solutions concrètes et appropriées sur les problèmes abordés.
Voilà donc une culture d’habilité politique qu’il a pu forger en lui et qui le distingue clairement sur le champ politique national, comme un homme politique courageux et assumant clairement ses prises de position publiques. C’est en somme le destin de l’homme qui a bien cherché de connaitre en profondeur le payspendant de longues années, avant de le servir. Et même si l’on ne le dit pas très assez, dans son entourage, c’est ce qui fait que l’image de cet homme économique, pragmatique. Aliou Boubacar Diallo, qui s’est beaucoup investi dans l’humanitaire, ne laisse personne indifférent dans son pays, tout comme à l’intérieur, où il continue de gagner davantage la confiance des populations.
Cette réputation de proximité avec les gens de tous bords, indépendamment de leurs conditions sociologiques qu’il a su cultiver au fil des années de contact sur le terrain, nul ne dira que cela procède du hasard. Et pour cause ? S’il parvient aujourd’hui à rallier de plus en plus de Maliens, au-delà de leurs aspirations sociales, à sa cause, c’est parce que le président Diallo a démontré qu’il est, pour le futur, une alternative crédible pour le Mali ; un pays qui est en proie aujourd’hui au doute et à l’incertitude, tant les défis de son développement sont nombreux et complexes.
La parfaite illustration de ce dynamisme politique est traduite par le maillage politique, fort appréciable, qu’il a su réaliser pour la visibilité de l’ADP-Mali ; un parti implanté dans les moindres contrées du pays, et dont la percée est fulgurante, alors qu’il est relativement plus jeune. Grâce à la vision de son fondateur qui a mis en exergue les vertus de patriotisme et de panafricanisme, il est clair aujourd’hui que ce jeune parti joue dans la cour des grands.
Au-delà de la force de frappe de son parti, le président Aliou Boubacar Diallo, pour prétendre jouer tous ses atouts de futur gagnant des joutes à venir, pour le pays, doit compter sur l’adhésion massive de nombreuses autres sensibilités. A vrai dire, c’est un challenge politique qui n’est pas au-dessus des efforts de l’homme, lequel vient tout juste de faire réunir une bonne vingtaine de partis et d’associations à sa cause pour la grandeur du Mali.