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Le club de soutien à Issa Kaou est mort de sa belle mort
Publié le lundi 6 septembre 2021  |  le Temoin
Conférence
© aBamako.com par A S
Conférence de presse de la CMAS
Bamako, le 18 octobre 2020 La Coordination des Mouvements, Associations, Sympathisants de l`Imâm Dicko (CMAS) a organisé une conférence de presse ce samedi 17 octobre 2020 à son siège.
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Créé pour soutenir les idéaux et objectifs de Issa Kaou Djim devenu personne non grata au siège de la CMAS, le club des amis et sympathisant d’Issa Kaou Djim est mort de sa belle mort le samedi dernier de suites d’une démission collective de l’ensemble de ses membres, de Bamako comme et de l’intérieur. Une cérémonie a été même organisé: pour la circonstance aux fins de donner à la démarche un retentissement nationale et internationale. Presque tous les membres de bureau de coordination du club de Bamako et de l’intérieur étaient présents pour porter la nouvelle mauvaise du moins pour Kaou Djim, qui avait pris grand plaisir à se délecter de la mort du M5 RFP. Si le désormais ex-président du défunt club, n’est rentré dans les détails du divorce, tout laisse croire que la position actuelle du 4e vice-président du CNT face à Choguel en est à l’origine. En effet, tout en soutenant la transition et son Président, Kaou Djim profite de chaque sortie médique pour régler ses comptes avec le PM de son «imperturbable patriote». Il n’a jamais raté l’occasion de clamer l’incompétence de Choguel et de réclamer son départ de la Primature. Et, aux yeux d’Ibrahim Diawara, cette posture de Kaou est incompréhensive. En attendant la sortie défensive de Kaou Djim, l’arrière-gout de cette mort met en danger la vie de l’ACRT, une entité politique que Kaou Djim a porté sur les fonts baptismaux il y’a quatre mois à peine, avec comme objectif de porter la candidature de Assimi Goita à la présidentielle prochaine.




La grille unifiée ou le coup de grâce à l’article 39



Le feu de l’article 39 n’est pas près de s’éteindre et la crispation semble avoir de beaux jours devant lui après la désobéissance civile des enseignants grévistes et le sabotage par eux des examens de fin d’année. Ainsi donc, pendant que le bras-de-fer fait rage et que les partenaires sociaux misent sur un fléchissement des hautes autorités, celles-ci affichent plutôt une détermination à ne rien lâcher sur le litige de l’article 39 du statut général des fonctionnaires. L’entente avec l’Untm est passée par-là et, pour consolider les gages donnés à cette centrale syndicale, le Conseil National de Transition va bientôt mettre un terme définitif au débat à travers l’examen et le vote du texte devant consacrer l’unification des grilles salariales. Cette procédure législative fait figure d’ultime coup de grâce à l’article 39, une disposition mort-née du statut général n’ayant eu de cesse d’agoniser depuis son acceptation sur le bout des lèvres par le régime défunt d’IBK. Reste à savoir si les tenants de ladite disposition vont se résigner à se le tenir pour dit, à quelques encablures de la réouverture des classes et en pleine correction de l’examen qu’ils avaient saboté.

Rassemblées par la Rédaction
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