Aliou Boubacar Diallo, capitaine d’industrie malien avisé et très respecté dans le monde, rêve de transformer son pays en une force économique indéniable. Pour cela, il a mis en place une capitalisation estimée à plus de 100 milliards de dollars US. Sans doute, son objectif économique visé, à partir de ces investissements colossaux, est de faire rentrer son pays dans la cour des grands, parmi les grands producteurs d’énergie qui compte dans le monde. Pour cet homme de défis, le sous-sol riche du Mali, en hydrogène et en gaz, lui offre une grande potentialité financière et économique pour y parvenir.
Aliou Boubacar Diallo, cet homme de défis, volontairement téméraire pour affronter les nombreuses hostilités de parcours, pourvu qu’il s’agit de promouvoir les énormes potentialités économiques de son pays, s’est désormais orienté pour la diversification de l’économie du Mali. Après avoir créé et exploité la première mine d’or malienne, à capitaux essentiellement locaux, dans un secteur dominé par les multinationales, d’où il a fait office de pionnier ; le voilà aujourd’hui dans la production de l’électricité et du gaz.
Si le créateur de Wassoul’Or s’est intéressé au secteur énergétique et gazier, c’est bien à cause de sa volonté d’aller là où peu de gens ; surtout les acteurs nationaux, investissent d’ordinaire, en prenant, pour cela, le risque qu’il faut. Les déboires et autres hostilités qu’il a dû affronter, pour sauver son patrimoine minier des grippes des prédateurs, tapis dans l’ombre du pouvoir d’Etat, n’ont pas émoussé sa détermination d’aller de l’avant, en prospectant de nouveaux horizons économiques.
Non sans une dose de fierté, il évoque lui-même, en ces termes, ses efforts : « grâce à nos travaux dans le Bloc 25 au Mali, nous avons pu confirmer la plus grande découverte d’hydrogène naturel au monde parmi la dizaine de découvertes signalées ». En fait, indique-t-il, cette importante découverte a été réalisé par le BGR, une structure d’évaluation scientifique allemande, en matière de recherche géologique.
Ce n’est pas par hasard qu’aujourd’hui, le pays, en dépit de ses énormes difficultés socioéconomiques, retrouve, comme l’a rapporté l’opérateur minier malien, « une crédibilité certaine dans le secteur minier et gazier ». Il en est ainsi à travers « son riche potentiel qui est avéré et confirmé par différentes études scientifiques », affirme Aliou Boubacar Diallo, dont l’expertise en la matière est tout aussi avérée que respectée.
Face à cet énorme potentiel minier et gazier, Aliou Boubacar Diallo, opérateur émérite, est plus que certain d’une chose : « Cette découverte d’hydrogène naturel permettra sans nul doute au Mali de dépasser un jour le Qatar », prophétise-t-il avec conviction.
Le tout or n’existe pas pour Aliou Boubacar Diallo qui croit plutôt à la force créatrice de richesses d’une économie diversifiée. C’est la raison pour laquelle il a innové, en investissant dans un secteur, dont peu, sinon très peu, d’opérateurs maliens et même étrangers, ont voulu s’aventurer, avant lui.
Pourtant, le bâtisseur, qui rêve d’un avenir économique radieux, pour son pays, y a cru. Un challenge économique qu’il a réussi et qui lui permet aujourd’hui de créer une société qui ambitionne d’être « le plus grand producteur africain d’hydrogène et un fournisseur majeur d’hydrogène naturel et vert à l’Europe pour lui permettre d’arriver à la neutralité carbone, tel que décidé à l’accord de Paris lors de la COP21 ».
Ses atouts, en matière d’investissement et d’innovation, selon les économistes avertis, c’est qu’il n’a pas de dette à supporter. Ce qui constitue, pour lui, une réelle opportunité, lui permettant d’injecter dans sa nouvelle société d’hydrogène « un investissement total de plus de 20 milliards d’Euros, à réaliser pour la production d’hydrogène naturel et vert au Mali et dans plusieurs autres pays africains, où des filiales ont déjà été incorporées ». A terme, dit-on dans les milieux financiers respectables, la valorisation de la nouvelle société appartenant à l’homme d’affaires malien, Aliou Boubacar Diallo, dépassera la centaine de milliards de dollars américains ».
Aliou Boubacar Diallo, opérateur économique respecté, est convaincu d’une chose : « Ce projet d’hydrogène naturel va inscrire durablement le Mali dans la transition énergétique et permettre ainsi le développement durable du pays ». Et d’ailleurs, c’est en cela que l’engagement de l’homme pour faire du Mali un grand producteur d’hydrogène est plus fort que jamais».
A la fois, homme politique intrépide et opérateur innovant, Aliou Boubacar Diallo, président d’honneur de l’ADP-Maliba, dit volontiers que le « Le développement économique et social du Mali se fera par l’implication des opérateurs économiques privés maliens dans la mise en valeur de notre secteur minier et gazier… », dont les effets d’entraînement se ressentiront sur « tous les autres secteurs de l’économie nationale ».
Riche de ses énormes potentialités minières et gazières, pour amorcer son développement économique, Aliou Boubacar Diallo dit clairement qu’il « est temps que le Mali protège ses ressources minières et gazières en les inscrivant dans les questions de sécurité nationale, comme l’ont fait d’autres pays gaziers avec leur gaz naturel ». Il s’agit, pour lui, d’un impératif catégorique et incontournable pour toute gouvernance soucieuse de sortir enfin le pays de l’impasse, dans laquelle il se trouve.
Le Golden boy malien des affaires est d’ores et déjà persuadé que « La solution à la crise multidimensionnelle malienne n’est pas que militaire ». D’où son intérêt pour la réussite économique de son pays, par laquelle il croit savoir plus que tout que « la solution à la crise malienne passera en partie par le développement de ce projet structurant, innovant, à fort potentiel de valeur ajoutée et de création d’emplois ».
Il n’est donc pas surprenant que le candidat de l’ADP-Maliba, appuyé par une bonne trentaine de partis et d’associations politiques, estime que « le secteur minier et gazier, avec sa grande capacité de création d’emplois de masse, doit être soutenu et protégé par l’Etat du Mali et les Maliens ».
La détermination de cet homme d’action, qui privilégie, comme il l’a toujours défendu, l’économie diversifiée et l’ouverture dans le monde, y compris les partenaires traditionnels et historiques, comme la France, l’Allemagne et tous les autres, à s’investir pour les grands projets économiques structurants, est sans limite. Et cela, pour amener son pays à jouer dans la cour des grands.