Trois (03) ans sans l’aide à la presse et presque une année sans payement des abonnements de la présidence de la République. Qu’avons-nous fait pour mériter un tel traitement. Il paraît que la grande muette n’aime pas le quatrième pouvoir, spécialiste du commentaire. Attendons de voir. D’ici là, où sont donc passés Assimi Goïta et son DFM ?
Le fonds de souveraineté, alloué aux œuvres sociales dont les populations bénéficient des retombées aujourd’hui, peut aussi servir à payer l’aide à la presse. Le colonel Assimi Goïta fait en sorte que l’histoire ne retienne pas votre nom comme le président qui a piétiné la presse.