Samedi, à la tribune de l’ONU, Choguel Maïga a accusé la France d’un « abandon en plein vol ». Tandis que dimanche sur RFI, le Premier ministre malien a ajouté avoir appris par la presse la fin de l’opération Barkhane. Des propos qui ont provoqué des réactions courroucées, le lundi 27 septembre, du Quai d’Orsay et de la ministre des Armées, Florence Parly.
Le Quai d’Orsay est d’abord monté au créneau lundi après-midi 27 septembre pour rejeter les accusations formulées par le Premier ministre malien qui a accusé la France d’abandonner le Mali et d’avoir engagé le retrait de la force Barkhane sans consultation. « La transformation de notre dispositif militaire au Sahel ne constitue ni un départ du Mali, ni une décision unilatérale, et il est faux d’affirmer le contraire », a déclaré la porte-parole du ministre français des Affaires étrangères.... suite de l'article sur RFI