Accueil    Shopping    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Mali    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Santé
Article



 Titrologie



L’Indépendant N° 3346 du 24/9/2013

Voir la Titrologie

  Sondage


 Autres articles


Comment

Santé

Les médecins en spécialisation entament une grève de 48 heures aujourd’hui
Publié le mardi 24 septembre 2013  |  L’Indépendant




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Après le dépôt de leur préavis de grève le 9 septembre dernier, les médecins en spécialisation, qui officient au niveau de nombreux hôpitaux du pays, entament à compter d'aujourd'hui mardi 24 septembre une cessation de travail pour 48 heures. Pour le secrétaire général de l'Amicale des médecins en spécialisation, Samou Diarra, cette grève est consécutive au non paiement de leur prime de garde depuis 14 mois par le département en charge de la Santé. A le croire, les médecins en spécialisation sont les seuls agents en blouse qui ne perçoivent pas d'émolument pour les services qu'ils rendent au niveau des hôpitaux. Il faut rappeler que l'Amicale des médecins en spécialisation a pris à témoin la Primature sur leurs conditions pénibles de travail.
De vrais- faux sinistrés des inondations débusqués en commune I

A la suite des récentes inondations en commune I, de nombreuses personnes se faisaient passer comme des victimes de ce sinistre. Certains d'elles ont même déménagé dans les centres d'accueil pour bien profiter de l'élan de générosité qui se manifestait envers les sinistrés. Ayant eu vent de cette pratique crapuleuse, la commission de crise de la commune I n'a pas mis du temps pour débusquer les gens qui s'y livraient.

C'est pourquoi, un responsable de cet organe, un lieutenant de la protection civile, répondant du nom de Maciré Traoré, a demandé récemment à tous les pensionnaires du Centre d'accueil du groupe scolaire Baben Santara de se rendre avec lui sur le terrain du sinistre pour que chaque famille présente sa maison et l'ampleur des dégâts. Cette nouvelle a aussitôt créé un vent de panique pour les faux sinistrés qui ont aussitôt pris la clé des champs, la nuit tombée. "Avec l'annonce de la nouvelle d'un inventaire des dégâts, les pensionnaires du groupe Baben Santara sont passés de 300 à environ 140 " confie un responsable de la commission. Ah ! misère, quand tu nous tiens.

K Thera

 Commentaires