Le Réseau des journalistes pour le développement du secteur des transports, l’infrastructure et l’hydrocarbure au Mali est né. Il regroupe déjà une vingtaine de jeunes journalistes qui s’engagent à mettre leur plume au service de la promotion du secteur des transports et l’infrastructure au Mali. Le réseau a été officiellement lancé le week-end dernier à Bamako.
Le réseau est présidé par Ousmane Touré, sous les secrétariats de Toumani Coulibaly, Bako Touré, Saba Ballo, Abdrahamane Doucouré. Ils sont tous journalistes reporters ou responsables d’organes de presse. Ils s’engagent à promouvoir le secteur dans le pays.
Pour les membres du réseau, le gouvernement fournit des efforts colossaux dans le secteur de développement routier mais les informations traitées par les journalistes partent des constats de terrain et des plaintes mais jamais des efforts investis par celui-ci. C’est pour apporter plus de lumières sur les actions posées à l’ombre par les autorités en charge du secteur que ce réseau a été créé.
En plus de la communication sur les actions gouvernementales, le réseau compte aussi sensibiliser sur les cas d’accidents au Mali. Aux dires du président Ousmane Touré, « entre Ségou et Bamako, la vitesse maximale autorisée est de 90Km/h. Et celle de Bamako-Moribabougou, 30. Par contre personne ne respecte ces limites fixées », a-t-il rappelé, avant de préciser que « c’est le non-respect de ces limites qui est à la base de la plupart des accidents. Le réseau compte mettre cette préoccupation parmi ses priorités ».
Pour être membre du réseau, il suffit d’être journaliste, communicateurs et manifester son envie d’adhésion par les voies adéquates. Il fonctionne sur fonds propre (cotisation de ses membres) et l’appui de ses partenaires.