Une proposition pour sauver notre nation au sortir de la transition, tout ce -ci avait été déjà dit, comme l’ont dit nos professeurs « la répétition est pédagogique » la réussite de la transition est le souhait de tout Malien ; pour qu’elle soit profitable pour tous, il sera nécessaire :
Que les Autorités de transition aiment mieux ce pays qui a beaucoup tangué, le remettre sur la base de reformes convaincantes et responsables dans le seul esprit de patriotisme. Pour que leur passage à la tête de l’état soit gravé dans l’esprit du citoyen lambda qui n’avait que perdu espoir pour le reste de son existence;
D’engager une lutte sans merci contre la corruption ; voter des lois pouvant lever toute humilité imaginaire qui couvre les fossoyeurs du denier public, être à l’écouter du peuple.
De restaurer l’autorité de l’Etat sous toutes ses formes, passant par la sécurisation de
Toute l’étendue du territoire national ; être à l’écouter du peuple et chercher à étoffer toute grogne sociale qui se prépare(ne négliger aucune).
Restaurer l’autorité des chefs de villages, redéfinir les clauses en les mettant dans leur droit.
De ne plus jamais, accepter au haut sommet de l’Etat un responsable qui porte la double nationalité : ni Président, ni Premier Ministre. Décision à signifier dans la constitution et dans le code électoral.
De revoir Le dernier découpage territorial qui a été un véritable tripatouillage, qui ne devait pas arriver par la faute des premiers responsables d’un état sérieux, un clin d’œil sera plus qu’une nécessité dans la boîte;
De réviser le code électoral, amener toute la classe politique sur la table de négociation. Réviser la charte des partis politiques, une grande reforme et courageuse s’impose, sans laquelle nous ne parviendrons à un réel changement. Pour ne plus continuer à patauger au Mali sans succès, par la faute du multipartisme intégral; il est préférable de ne garder que (2) partis politiques, dissoudre les autres, cela pour sauver la démocratie au Mali, pour nous garantir ce qui nous reste de notre chère patrie (pas plus de deux (2) partis politiques au Mali).De façon intelligente, nous pouvons les conduire vers une réduction stricte. Le multipartisme intégral est à la base de tout cet imbroglio socio- économique et politique au Mali, entre autres je cite: le détournement sans vergogne du dénier public, le vol, le cambriolage, la délinquance, l’implosion de la drogue, le népotisme sans limites, le non- respect de nos mœurs et coutumes, la violation de l’autorité parentale et celle de l’Etat en un mot la fausseté à tous égards. En fin nous disons à la classe politique que la politique ne peut être source de métier.
La révision des contrats économiques et miniers, s’impose et devient une réalité ou la mise en cause de certains des leurs ;
Le Mali est atteint par sa colonne vertébrale ; l’éducation, la santé, la justice et l’armée c’est Par là qu’il faut murir une grande réflexion :
A l’éducation c’est plus grave, vous devez purement et simplement arrêter la création d’écoles privées sur toute l’étendue du territoire en attendant de ruminer le passé; ensuite bannir les nombreuses reformes de l’éducation.
La justice c’est le goulot d’étranglement, il faut une reforme de la structure, une refonte en conformité avec les réalités du pays (tenant compte des coutumes et mœurs du malien) et lui garantir son indépendance totale.
La santé a fort besoin d’une véritable structuration en son sein (entrevoir la création et le fonctionnement des cliniques et centres de soins privés)
Revenir à une armée véritablement Républicaine, revoir la forme de recrutement, récompenser les compétences réelles, éviter le népotisme dans les nominations et les mutations…
La révision ou la relecture des accords et des conventions internationales signés par s’y par là toute convention ou accord non ratifier par l’Assemblée nationale mérite d’être rejeté;
Si nous ne pouvons brusquement sortir du Français (il le faut), l’adoption d’une autre
Langue officielle s’impose. Démettre les services centraux des experts Français qui ne sont là, que pour nous instruire la destruction de notre économie, or ils sont payés à des millions de nos francs même s’ils sont médiocres.
Pour notre pays, il faut obligatoirement trouver une coopération bilatérale avec tous les Etats du monde entier mais pas avec un seul Etat. Renouer tout de suite avec la fédération de Russie (la diversité de partenariat au Mali est une nécessité impérieuse).
Tenir compte de la stabilité du pays ou prendre le temps nécessaire pour organiser des élections paisibles et transparentes à la satisfaction de toute la classe politique.
La prolongation de la durée de transition s’impose, mettre au vote les participants pour ; 3ans, 5ans, 10ans
Le Mali est tombé tellement bas, que nous ne devons jamais accepter faire endosser, aveuglement par l’Etat l’entretien des anciens Présidents et leurs Premiers Ministres. C’est normal je trouve, mais ceux qui auront détruit ce pays et trahi le peuple n’en ont aucun droit. Pour faire la part des choses, il est nécessaire de les écouter de 1992 à nos jours.
Dissoudre le bureau de la société civile en place. Il sera remplacé par un autre plus fort et cohérent. Cette fois, le Président aura à ces cotés son secrétaire général et son porte- parole pour toutes les rencontres de haut niveau, nationales aussi bien qu’internationales. Ils auront le droit d’informer le peuple au moment opportun.
Exploiter le gazdu sous- sol malien; cela demeure une priorité des priorités, pour mieux Sauver ce qui nous reste de la forêt.
Entreprendre beaucoup de reformes du monde rural, du code domanial et foncier.
Compte tenu de beaucoup de facteurs et de changements, le Ministère de la défense et des anciens combattants doit transférer en un autre lieu sans délai. Les locaux seront utilisés à d’autres fins ;
Faire déplacer l’Assemblée Nationale et l’INA Vers d’autres sites, trouver des partenaires pour transformer et reconstruire les anciens sites en marchés publics;
Construire des ponts partout où cela est nécessaire pour éviter d’entraver la circulation pendant la période hivernale .Ils seront tous des ponts de qualité, larges et robustes dont on ne détruira pas en cas de bitume;
Cesser le payement de la redevance des infrastructures coloniales même s’il faut les abandonnées;
Faire comprendre à qui veut l’entendre que le Mali est un et indivisible, aimons ce Mali la seule nation que nous a légué nos ancêtres et bâtissons le au prix de notre sang;
La relecture de la constitution s’impose, pour que puisse naître la cinquième République, jamais les textes fondamentaux d’une nation ne doivent constituer un frein pour son développement.
Il est tout à fait inopportun d’attendre2027 pour la création d’une monnaie Ouest Africaine: l’ECO (analyse et faisabilité). A vos marques les économistes de la sous- région.
NB : pas plus de deux (2) partis politiques au Mali;