Aujourd’hui, le Département de la Santé et du Développement social, devenu l’épine dorsale du gouvernement par la force des choses, multiplie les actions pour le bonheur des Maliens. En effet, la performance de Diéminatou Sangaré et son équipe contraint désormais des officines tapies dans l’ombre à vouloir vendre du vent.
Plus d’une année après le coup d’Etat, plusieurs départements ministériels peinent à imprimer leur marque. Mais, comme par miracle, la nouvelle équipe du département de la Santé et du Développement social, dirigé par Diéminatou Sangaré, réalise des prouesses.
En un laps de temps, Diéminatou Sangaré a en effet prouvé son mérite pour diriger ce département stratégique. Ce, à travers des actes révélateurs. Il s’agit, entre autres de l’équipement du service d’imagerie de l’hôpital du Point G en scanner ; la dotation dudit hôpital de 10 appareils de dialyse pour davantage atténuer la souffrance des malades. Aussi, a-t-elle doté cet historique centre hospitalier universitaire de cinq ambulances destinées au transport des patients et deux minibus pour assurer le transport du personnel socio-sanitaire.
Epaulé par un Secrétaire général qui n’a d’yeux que pour le travail bien fait, l’engagement de Diéminatou Sangaré est en train de donner une nouvelle image à nos structures de santé. De la volonté du département de renforcer le plateau sanitaire, l’hôpital Gabriel Touré n’est pas resté en marge. Ainsi, les services d’urgences et de pédiatriquesde ce CHU ont reçu des équipements ultramodernes. Des lits de réanimation avec leurs accessoires, tels les respirateurs, les moniteurs et les pousse-seringues ont été également livrés, traduisant ainsi en actes la vision du chef de l’Etat.
Dans cette même dynamique, la ministre Sangaré est engagée à redorer le blason des structures sanitaires en général et des maternités en particulier. Ce, à travers l’élargissement et la pérennisation de l’initiative recrutement et déploiement de 323 sages-femmes au profit des collectivités territoriales dans les zones d’intervention du Swedd (projet autonomisation des femmes et dividende démographique au Sahel).
Au cours de la cérémonie solennelle de lancement de cette initiative, lundi 8 novembre 2021, à l’hôtel Radisson Collection (ex-Sheraton), la ministre de la Santé et du Développement social s’est montrée réceptive des doléances des sages-femmes qui constituent l’ultime recours pour sauver les femmes des localités reculées. Il s’agissait, entre autres,du renforcement des capacités opérationnelles de la santé maternelle et infantile, mais aussi de l’intégration des 323 sages-femmes dans la fonction publique à la fin de l’initiative. Au regarddes prouesses susmentionnées, ajoutées à la modernisation et la gestion transparente de l’AMO, le ministère de la Santé est incontestablement l’un des rares départements du gouvernement Choguel par lesquels la Transition respire.
Nonobstant ces performances qui, en principe, devraient permettre à certains détracteurs de dégonfler leurs biceps, ils demeurent à l’affût. Ainsi, dans leur logique, ils pondent des pamphlets contre ceux qui font barrage au désordre ambiant qu’ils voudraient installer. Dans leurs manœuvres, ils font croire que le ministre et le Segal ne sont pas du monde médical. Pour se rendre à l’évidence que l’efficacité d’un département de la Santé n’est pas qu’une affaire de médecin, il suffit de faire un tour chez nos voisins, notamment le Sénégal, où ni le ministre et ni le secrétaire général de la Santé n’est un médecin.
L’essentiel pour le peuple, ce sont les résultats. Et les résultats, on en a assez.