Il est au cœur des campagnes de dénigrement tous azimuts : Aliou Boubacar Diallo, président d’honneur de l’ADP-Maliba, candidat très crédible de la course pour Koulouba, est toujours visé par les adversaires politiques qui lui cherchent, en tout temps, des poux sur une tête rasée. Le prétendu trafic de l’or vénézuélien n’est que la manche cachée d’une sordide campagne de lynchage qui finira comme toutes les autres, à savoir dans l’indifférence du citoyen lambda.
Ces derniers temps, les campagnes de dénigrement, à la fois sordides et grotesques, se multiplient contre le président d’honneur de l’ADP-Maliba, Aliou Boubacar Diallo, candidat très sérieux à la prochaine élection présidentielle
La dernière en date est la prétendue vente de l’or vénézuélien, à laquelle on a vite fait d’impliquer l’homme d’affaires malien, Aliou Boubacar Diallo, également homme politique influent, arrivé troisième lors de la dernière joute présidentielle organisée au Mali.
Cette dernière, comme toutes les autres, cousue en fil blanc, ne repose sur rien. Sinon qu’à profiter du statut flatteur de l’homme, visionnaire politique et opérateur économique très respecté, à travers le monde, pour le faire tremper dans des affaires louches. Histoire de diaboliser un homme au parcours politique exceptionnel, fin connaisseur des réalités maliennes, qui ambitionne de réaliser pour son pays de grands desseins.
L’objectif caché ? C’est de chercher, par tous les moyens, à freiner, aux yeux de l’opinion publique, l’ascension fulgurante d’un homme. Et à briser par ricochet la grande sympathie qu’il jouit auprès de ses compatriotes, dans les quatre coins du pays.
Peine perdue ! Car, comme un rocher, rien ne peut entamer la détermination de cet homme qui, à cette épreuve similaire, a su rebondir. Contre les calomnies et les lynchages planifiés, Aliou Boubacar Diallo, le golden boy malien, comme à ses habitudes, depuis ce fameux procès dit des exos, dans les années 2003, où il a été injustement mis en cause, avant d’être blanchi par le tribunal, s’est toujours tiré d’affaire en apportant le démenti cinglant.
La grotesque affaire de la vente de l’or vénézuélien est passé par là. L’homme d’affaires malien prospère et intègre a déclaré qu’il n’y a est rien lui concernant dans cette rocambolesque affaire.
En fait, il est clair que contrairement à ce qui a été dit et entretenu par les médias qui ont relayé cette fameuse implication de l’homme d’affaires malien dans ce trafic d’or vénézuélien, Aliou Boubacar Diallo, l’homme à abattre, n’était ni président du Mali ni directeur des aéroports au moment des faits.
C’est donc par l’étonnement et l’indignation que le proche entourage d’Aliou Boubacar Diallo a constaté que le nom de leur mentor a été assimilé à cette sordide vente de métal précieux d’un pays étranger par des esprits malveillants, lesquels n’ont autre visée machiavélique que de ternir la réputation d’un homme de conviction.
D’ailleurs, ce n’est pas un fait du hasard que les adversaires de cet homme tentent chaque fois de le pousser dans des affaires d’or. Ils agissent ainsi car ils savent que cet homme, investisseur hors pair, est l’un des premiers nationaux à rivaliser dans un domaine jadis réservé aux grandes multinationales, à savoir la production aurifère. Et cela, grâce à ses avoirs propres avec l’appui avec de ses partenaires commerciaux étrangers qui lui vouent une confiance sans faille.
Des manœuvres vouées désormais à l’échec cuisant. Et pour cause ? Les Maliens, dans leur grande majorité, qui ont appris à connaître cet homme de terrain, savent bien ce qu’ils attendent maintenant d’ABD qui a démontré, par le passé, son engagement sans réserve à propulser le Mali dans la cour des grands.
La politique d’Aliou Boubacar Diallo, président d’honneur de l’ADP-Maliba, en faveur de la paix et du développement, a convaincu le plus grand nombre des Maliens que ce ne sont pas les invectives sordides, ni les calomnies les plus honteuses qui peuvent avoir raison de la détermination de cet homme à se battre pour éloigner les frontières de la pauvreté et de la précarité dans son pays.