L’indéniable fait qui a toujours marqué la relation entre le gouvernement et les groupes armés est un éternel recommencement dans le processus du retour de la paix. C’est pour cette raison que la « flamme de la paix » n’a pas suffi et que l’énième accord d’Alger marche au ralenti dans sa mise en œuvre. Aussi depuis l’annonce du retrait de la France, des groupes armés semblent n’être plus tranquilles. Ces derniers jours ont été marqués par des déclarations susceptibles de fonder le doute sur la volonté de certains à mettre en cause tous les progrès réalisés depuis la signature de l’Accord en 2015.
De Ouagadougou à Bamako en passant par Alger, le Gouvernement et les anciens rebelles ont signé la paix