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Me Cheick Oumar Konaré, membre de la Commission d’organisation : «Les conclusions générales sont appelées à régir le Mali de demain»
Publié le mardi 28 decembre 2021  |  L’Essor
Cérémonie
© aBamako.com par MS
Cérémonie d`installation officielle des membres de la commission nationale d`organisation des assises nationales de la refondation
Bamako, le 28 octobre 2021. Le Premier ministre, Choguel Maïga, a présidé la cérémonie d`installation officielle des membres de la commission nationale d`organisation des assises nationales de la refondation au CICB
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Les Maliens ont cette volonté de prendre la parole et c’est ça qui a valu aux ANR d’enregistrer une participation massive malgré les lacunes d’organisation. Je me félicite, que du début à ce jour, les Assises se soient bien déroulées tant au niveau local, régional et aujourd’hui au niveau national.

Nous attendons des 1.000 délégués de notre peuple qu’ils fassent une bonne lecture de la situation du pays. Un pays devenu aujourd’hui martyr, du fait des mille et un maux qui l’assaillent. Il s’agit pour les délégués de voir entre les différentes thématiques proposées, ce qui est bon pour le Mali. Parce que les conclusions générales de ces ANR sont appelées à régir le Mali de demain, de manière que le gouffre dans lequel nous nous trouvons devienne un mauvais souvenir.


Makan Tounkara, vice président du Fusi-Mali : «IL EST TEMPS QU’ON PUISSE REPARTIR SUR DE NOUVELLES BASES»

Personne n’ignore l’état de déliquescence de notre pays. Il est temps de remettre les choses en place, que le pays soit assaini afin qu’on puisse repartir sur de nouvelles bases. C’est pour cette raison que les vastes chantiers à abattre, avant ce démarrage sur de nouvelles fondations, sont vastes et nobles. Il nous faut les poursuivre jusqu’à leur terme. Parmi ces chantiers, nous avons les problèmes de gouvernance, les réformes politiques et institutionnelles, la relecture des textes fondamentaux (loi électorale, Charte des partis politiques, toilettage du fichier électoral…)
Pour mener tous ces chantiers à bien, nous avons demandé la prolongation de la transition de deux ans. Si cela ne suffit pas, il faut même prolonger davantage.


Propos recueillis
par Aboubacar TRAORÉ
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