A Bamako, l'heure est à la résistance contre le « diktat » de la Cédéao. Mais en même temps, dans l'entourage de la junte au pouvoir, on n'exclut pas à l'avenir un « dialogue constructif » avec les pays de la sous-région, qui viennent pourtant de sanctionner durement ce régime militaire. Jeamille Bittar, un proche du Premier ministre malien Choguel Maïga, est le porte-parole du mouvement M5 RFP et préside le MCATT, le Mouvement citoyen pour l'alternance, le travail et la transparence. En ligne de Bamako, il répond aux questions de RFI.
RFI : Comment réagissez-vous aux sanctions décidées par la Cédéao contre le régime de transition qui vous gouverne ?... suite de l'article sur RFI