Gel des avoirs, interdiction des transactions financières, blocus des frontières sauf pour les produits essentiels et les produits pharmaceutiques, le Mali est sous le coup de sanctions aussi dures qu'inédites. Dans le pays, certains voient avec inquiétude la situation économique se dégrader rapidement, tandis que d'autres réfléchissent à la façon de contourner légalement l'embargo de la Cédéao.
Depuis lundi 10 janvier, l'État du Mali n'a plus accès à la Banque centrale de l'Uemoa ni à ses propres avoirs qui y sont conservés. Dans le pays, les banques n'ont plus la possibilité de demander des financements à la Banque centrale comme elles le font quotidiennement.... suite de l'article sur RFI