Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Le président Allassane Ouattara à propos de la levée des sanctions contre le Mali: « C’est la junte qui doit prendre des initiatives, redémarrer les négociations, nous proposer une durée raisonnable »
Publié le mercredi 19 janvier 2022  |  Nouvel Horizon
Sommet
© Présidence de CI par DR
Sommet extraordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, par visioconférence
Un sommet extraordinaire des Chefs d`Etat et de Gouvernement de la CEDEAO a eu lieu ce mercredi 8 septembre 2021 par visioconférence. Depuis Abidjan, le Président de la République de Côte d’Ivoire Alassane OUATTARA y a pris part.
Comment






En visite officielle au Gabon, le Président de la République de Côte- d’Ivoire, M. Alassane Dramane Ouattara, le « grand » voisin du Mali, lors d’une Conférence de presse tenue le lundi 17 janvier 2022 s’est prononcé sur les sanctions imposées à notre pays par les Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).


Certes, le Mali est sous le coup des sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA, mais les différentes parties ont toujours déclaré rester ouvertes au dialogue. Bien qu’elles soient ouvertes au dialogue, les lignes ne bougent pas dans le sens de la levée des sanctions draconiennes imposées à notre pays. C’est ce qui nous amenait à poser la question suivante : Les autorités maliennes et la CEDEAO annoncent toutes deux être ouvertes au dialogue , mais alors qu’est-ce qui bloque donc le processus ?

À cette question, une réponse est vite tombée. En effet, le Président Ivoirien, M. Alassane Ouattara a répondu à cette question de façon très explicite lors d’une conférence de presse tenue à Libreville au Gabon le Lundi dernier.

Depuis les sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA contre notre pays, on assiste à un « bras de fer » entre les autorités maliennes et les organisations sous- régionales. Si les Chefs d’Etat et de Gouvernements des organisations communes s’attendent à des propositions concrètes de la part des autorités en charge de la Transition au Mali, celles-ci restent les bras croisés.

Ce qui est sûr et certain, « la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre les pays de la CEDEAO et le Mali ; la (…)

TOUGOUNA A. TRAORE

Source: NOUVEL HORIZON
Commentaires