Le projet de loi soumis samedi 5 février doit maintenant être voté par le Conseil national de transition qui a été convoqué par les autorités en session extraordinaire, ce vendredi.
Ce projet de loi adopté vendredi en conseil des ministres propose plusieurs évolutions. D’abord, la suppression du poste de vice-président de la transition. Objectif, selon le texte, « éviter les duplications des missions et permettre au ministre chargé de la Défense et au ministre chargé de la sécurité de recouvrer et d’exercer la plénitude de leurs attributions traditionnelles ». La suppression de ce poste aurait pour conséquence d’asseoir un peu plus le pouvoir du président de la transition Assimi Goïta.... suite de l'article sur RFI